SIHH 2016, de nouvelles œuvres d’art signées Vacheron Constantin
A l’approche du prochain Salon International de la Haute Horlogerie (SIHH), la manufacture Vacheron Constantin présente en avant-première une sublime nouvelle série Métiers d’Art Fabuleux Ornements.
La collection Métiers d’Art Fabuleux Ornements célèbre les beautés ornementales du monde, issues des arts décoratifs de plusieurs cultures. Deux ans après sa première présentation, elle révèle quatre nouvelles pièces estampillées du Poinçon de Genève, nées de l’art du squelettage et d’une combinaison de métiers d’art.
Une dizaine de maîtres artisans se sont relayés pour réinterpréter l’architecture ottomane, la broderie chinoise, le manuscrit indien et la dentelle française qui caractérisent la collection. En écho aux atours qui parent les cadrans, les pièces sont dotées d’un mouvement aérien, gravé à la main : le calibre ultra-plat 1003 en or 18 carats. Côté face, la finesse du décor gravé atteint jusqu’à 1/10 ème de millimètre. Côté fond, Vacheron Constantin a opté pour une terminaison uniquement anglée et étirée dans un souci de sobriété.
Les arts traditionnels s’inscrivent à la croisée de différentes cultures. Pour se faire, le modèle « Manuscrit indien » naît de l’alliance entre l’émail Grand Feu champlevé et la gravure main.
Le modèle « Architecture ottomane » se définit grâce à l’anglage main, le lit de nacre violette et le moucharabieh d’or constellé de demi-perles.
La pièce « Dentelle française » met en scène un cadran en émail Grand Feu translucide guilloché à la main et délicatement serti de saphirs couleur grenat et de diamants.
Le quatrième modèle, la « Broderie chinoise », est réalisé en cloisonné de jade, tapissé de nacre sculptée et d’une opale rose façonnée selon l’art de la glyptique ; le cadran s’orne également de feuilles et de pistils en or, finement gravés à la main.
Depuis 260 ans, la Manufacture n’a eu de cesse de sublimer ses créations au travers de métiers d’art. La gravure main en fait partie. Un art exigeant, fait de patience et d’habileté, au service d’une recherche de légèreté aérienne dès les origines. Ainsi, la première montre créée par Jean-Marc Vacheron en 1755 mettait-elle déjà en scène un coq de balancier ajouré et gravé. Passé maître dans cet exercice, Vacheron Constantin a laissé libre cours à sa créativité, squelettant aussi bien des calibres simples que compliqués et les associant au gré de ses inspirations à d’autres métiers d’art.