Vacheron Constantin à la conquête de l’Everest avec l’alpiniste Cory Richards
Lors d’un événement à New-York, Vacheron Constantin a mis à l’honneur son ambassadeur Cory Richards, explorateur et photographe américain, afin de célébrer sa tentative d’ascension de l’Everest par la voie la plus difficile. Pour l’accompagner dans cette épopée hors norme, riche en émotions et en obstacles, l’aventurier a pu compter sur un prototype de montre Overseas ultrarésistant.
Nicolas YVON et Chloé REDLER
Nouvel ambassadeur de la manufacture suisse pour incarner sa campagne de communication « One of not many », Cory Richards a déjà gravi par deux fois l’Everest et revient d’une nouvelle expédition vers le toit du monde, culminant à 8 848 mètres d’altitude. Accompagné par l’équatorien Ecuadorian Esteban « Topo » Mena, l’explorateur américain au mental d’acier avait décidé cette fois d’emprunter l’une des voies les plus difficiles et dangereuses – l’arête Nord-Est – et de pratiquer l’ascension sans assistance respiratoire. Une prouesse physique entachée cependant par des conditions météorologiques extrêmement difficiles et éreintantes qui, malheureusement, ont poussé les alpinistes chevronnés à rebrousser chemin.
Après dix mois de préparation physique et mentale intensive afin de s’acclimater au milieu hostile et au climat extrême de l’Everest, les deux hommes ont dû renoncer, en effet, à leur l’aventure pour s’arrêter à 7 600 mètres après quarante heures passées hors du camp de base. En cause, une météo plus que défavorable et un manque de sommeil important dû à des températures particulièrement basses, qui ont eu raison de Cory et l’ont contraint à stopper son périple.
C’est « Une année de travail qui touche à sa fin. Je rejoins les statistiques d’autres expéditions et parcours qui ont mis plusieurs saisons à aboutir, et commence la préparation pour y retourner l’année prochaine ! Déçu ? Evidemment. Réaliste ? Totalement. Il me reste 12 mois pour être meilleur, plus fort, plus prêt, et faire partie des élus ! Merci à toi, Everest ! » s »est exprimé l’intéressé.
A l’occasion de cette expédition, Vacheron Constantin a créé, en collaboration avec Cory, un prototype de montre Overseas Dual Time pour l’accompagner. Celui-ci affiche un double fuseau horaire car l’alpiniste voulait connaître en permanence à la fois l’heure au Népal et celle de chez lui, aux Etats-Unis. Technique, l’instrument est aussi esthétique et personnalisé avec le dessin d’une des images du photographe, gravé sur la masse oscillante en or du calibre.
Etanche jusqu’à 150 mètres, cette montre de 41 mm de diamètre a été développée pour une utilisation en conditions extrêmes. Ultralégère, car conçue en titane, elle est aussi dotée d’une couronne et d’un renfort sous la lunette en tantale, un métal extrêmement dur et résistant. Certifiée du prestigieux Poinçon de Genève, cette pièce unique à remontage automatique affiche le second fuseau (aiguille orange à pointe flèche) horaire sur un cadran grené gris foncé, pourvu d’aiguilles et d’index recouverts de Super-LumiNova®.Robuste et léger, le modèle est associé à un bracelet Ventile® gris bleu, une matière textile fabriquée à partir de coton particulièrement résistant aux intempéries.
Audacieux et passionné, Cory Richards est un aventurier de l’extrême qui n’a pas abandonné l’idée d’y retourner pour réussir une troisième ascension à l’accrocher à son palmarès. Et si l’échec de cette expédition rappelle ô combien nous sommes peu de chose face à la force et aux caprices de la Nature et les happy end sont plus nombreux dans les films que dans la réalité, Cory a pu cependant capturer des moments inédits et magiques de son aventure avec des photographies et des vidéos réalisées sur les pentes abruptes du sommet enneigé. Celles-ci seront exposées dans les boutiques Vacheron Constantin du monde entier.
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Pour en savoir plus :
Avec déjà deux ascensions du toit du monde à son actif, Cory Richards vient de boucler une nouvelle expédition sur l’Everest avec l’équatorien Ecuadorian Esteban “Topo” Mena, cette fois par une des voies les plus difficiles et sans apport d’oxygène. Les conditions météorologiques très rudes et épuisantes ne lui ont pas permis d’aller au bout de sa route, repoussant le challenge à plus tard.
Vacheron Constantin tient à saluer le courage, la force mais également l’abnégation de cet homme hors du commun, assurément « one of not many ».
Chercher à atteindre le toit du monde à 8848 mètres d’altitude demeure une performance et un challenge hors norme. Depuis le 29 mai 1953, date à laquelle les pionniers Edmund Hillary et le sherpa Tensing Norgay sont parvenus pour la première fois au sommet de l’Everest, moins d’un tiers des alpinistes ayant tenté de relever le défi ont réussi à vaincre le géant himalayen. Et parmi eux, 2% seulement l’ont fait sans assistance respiratoire. Cory Richards en fait partie. Ses deux premières ascensions, en 2012 et en 2016, lui ont donné le goût de l’aventure et d’un nouveau défi dont il savait qu’il lui demanderait de repousser ses limites : gravir l’Everest par l’arête Nord-Est, au Tibet, considérée par tous les alpinistes comme la plus difficile et dangereuse.
Cette aventure humaine, qui a débuté il y a dix mois par une préparation physique et mentale chevronnée, a été rythmée par de longues phases d’acclimatation, l’attente de fenêtres météorologiques favorables et de longues marches très lentes. Passer d’une pression atmosphérique habituelle (1 atm) à celle que l’on trouve à 8000 mètres d’altitude (0,32 atm), subir des impacts éventuels lors de l’ascension, mais aussi des chocs thermiques à des températures atteignant -40°C : autant de contraintes, de risques et de défis auxquels l’alpiniste a dû s’adapter. La nature a repris ses droits.
La phase ultime de l’ascension de Cory et Esteban s’est achevée à 7600 mètres après 40 longues heures hors du camp de base, en raison de conditions météorologiques non favorables. Après un bivouac compliqué qui a suivi 12 heures d’effort très intense le premier jour, Cory n’a pas pu se reposer à cause des températures très basses. Le lendemain matin, il a décidé de poursuivre sa montée malgré le manque de sommeil et l’épuisement physique. Après trois heures d’ascension en terrain mixte, et tenant compte du parcours restant, il a pris le parti de faire demi-tour et d’attendre une fenêtre météorologique plus clémente. Malheureusement, cette deuxième fenêtre ne s’est pas présentée et Cory a donc décidé de stopper son ascension.
Les douze prochains mois seront assurément mis à profit pour parfaire la préparation d’une nouvelle expédition vers le sommet du monde.
Vacheron Constantin a célébré l’aventure de Cory Richards sur l’Everest à New York City, lors d’une conférence de presse et d’un événement réservé à ses clients. L’explorateur et photographe américain est ainsi revenu sur sa récente expédition, définitivement « One of not many ».
Pour Cory Richards, photographe professionnel et explorateur au long cours, le monde est un univers de découvertes dont on ne se rassasie jamais. Parmi ses nombreuses pérégrinations, l’Himalaya occupe une place de choix dans le cœur de cet alpiniste chevronné qui l’a déjà conquis à deux reprises, dont une fois sans oxygène en 2016. Jamais à court de défi, il devait tenter une troisième ascension, cette fois par l’arête Nord-Est au Tibet, un itinéraire jugé parmi les plus difficiles vers le toit du monde. Las, les conditions météorologiques en ont décidé autrement. Malgré une préparation minutieuse de plus d’un an, Cory Richard a dû abandonner dans sa tentative vers le sommet. Une sage décision devant les caprices de mère Nature.
Un engagement mutuel
Poussés par la passion, la même ouverture au monde, l’audace et l’envie de repousser les limites, l’explorateur-photographe américain et Vacheron Constantin ont décidé de faire route ensemble sur le chemin de l’exploit et de la découverte des beautés de la planète.
Cory Richards a rejoint le cercle très fermé des personnalités choisies par Vacheron Constantin pour incarner sa campagne de communication “One of not many”. Cette signature, expression d’un univers d’exception, accompagne des collaborations créatives avec des talents dont l’expertise et la quête d’excellence ne sont plus à prouver.
Incarnant la beauté du monde et de la nature, les photographies et vidéos réalisées sur les pentes vertigineuses de l’Everest lors de cette nouvelle tentative d’ascension de Cory Richards seront exposées dans les boutiques Vacheron Constantin du monde entier. La collaboration créative avec la Manufacture a donné naissance à un prototype Overseas Dual Time que l’explorateur a porté au poignet durant son ascension.
Hommage au défi de Cory Richards : un prototype Overseas dual time
Pour rythmer le temps de son aventure sur les pentes de l’Everest, Cory Richards souhaitait disposer d’une montre permettant de connaître l’heure au Népal, mais aussi chez lui, aux Etats-Unis. Son choix s’est porté sur le modèle Overseas dual time. En hommage à son défi et à sa quête constante de dépassement de soi, la Manufacture a réalisé un prototype à son intention et gravé sur la masse oscillante un dessin réalisé à partir d’une photographie de l’Everest de Cory Richards.
Le boîtier de 41 mm est taillé dans le titane, matériau combinant robustesse et légèreté. Un renfort en tantale, métal particulièrement dur, a été intégré sous la lunette. La protection de la couronne est renforcée par deux épaulements en titane. La pièce s’accompagne d’un bracelet en textile technique Ventile® gris bleu avec surpiqures de couleur orange. Ce tissu se distingue par sa densité et son exceptionnelle imperméabilité. Le caractère sportif du prototype s’étend sur son cadran grené gris bleu relevé par quelques touche d’orange et dans le traitement NAC de son mouvement.