Clé de Cartier, la star de la rentrée
Bien en vue dans les vitrines, la montre Clé ouvre une nouvelle page de l’histoire de Cartier qui lui consacre une campagne d’envergure, jusque sur les réseaux sociaux.
Consensuelle de prime abord et fidèle aux codes de l’horlogerie signée Cartier (cadran flinqué, aiguilles de type glaive en acier bleui, chiffres romains – pour la première fois bleus – et saphir cabochon), la Clé possède cependant un attribut qui la différencie des autres et lui donne son nom. Sur sa carrure en effet, pas de couronne mais un mécanisme de remontoir inédit et breveté, dessiné comme une clé. Déconcertant au début puis rapidement addictif (on peut le faire tourner librement à sa guise à tout moment), il intègre un boîtier de forme qui épouse le poignet à la perfection.
Proposée en différents diamètres (31, 35 ou 40mm), la Clé s’adresse aussi bien aux hommes qu’aux femmes en jouant sur les associations de matières pour constituer une collection à part entière dont le nombre de références ne cesse d’augmenter. De nouvelles déclinaisons bicolores en or et acier ont ainsi rejoint dans les boutiques en septembre une première vague de modèles en or gris ou or rose, avec ou sans diamants, présentés au dernier SIHH à Genève et disponibles depuis avril. Avec 29 variantes en tout à ce jour, le choix est grand, et la proposition d’autant plus séduisante que la plupart des montres possèdent un fond saphir permettant d’observer un nouveau calibre Manufacture Cartier (trois aiguilles, date) baptisé 1847 MC en hommage à l’année de création de la Maison.
Et l’histoire ne fait que commencer, puisque Cartier fait entrer sa Clé dans une autre dimension, celles des grandes complications, à l’occasion du salon Watches & Wonders, avec une édition de 35 mm de diamètre en or gris pavé de diamants équipée d’un tourbillon volant. Une première qui en annonce forcément d’autres pour la fin d’année et surtout au prochain SIHH.
N.YVON
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