La Lady-Datejust de Rolex se dévoile au Bon Marché
Fleuron de l’horlogerie Suisse, Rolex a révolutionné l’horlogerie féminine avec la Lady-Datejust, l’un des modèles les plus variés de sa collection Oyster Perpetual. Elle fait aujourd’hui l’objet d’une exposition au Bon Marché, une première à Paris. Jusqu'au 30 mars 2024...
Tout auréolé de ses cent ans, fêtés en 2023, le Bon Marché célèbre une autre icône de longévité, la montre Lady-DateJust de Rolex, modèle culte de sa collection Oyster Perpetual.
Lancée en 1957 elle promettait d’offrir aux femmes émancipées, qui entraient dans l’ère de la modernité, un chronomètre aussi chic que pratique, avec affichage de date, à la précision optimale et certifiée, qualités qui n’étaient plus dévolus qu’aux seuls garde-temps masculins.
À sa création, Hans Wilsdorf, le fondateur de Rolex, expliquait sa démarche : « Les femmes veulent le meilleur des deux mondes : une montre minuscule et un mouvement précis. Pourtant, plus la montre est petite, plus il est difficile de garantir sa précision. » Or, pour la première fois, un tel objet de rêve sortait des ateliers de Rolex, révélant dans un boîtier de 28 mm un concentré de son savoir-faire sur les proportions, l’esthétique, l’exactitude, mais aussi la robustesse : son boîtier, qui abrite un mouvement mécanique à remontage automatique (calibre 2236), entièrement conçu et manufacturé par Rolex, est taillé dans un bloc massif d’acier (l’Oystersteel) ou d’or 18 carats. Son étanchéité est garantie jusqu’à 100 mètres et elle dispose de la certification Chronomètre Superlatif attestée par son sceau vert.
Lady-Datejust : une ligne parfaite, adaptée au temps qui passe
La Lady-Datejust conserve de ses origines ses galbes parfaits, et notamment son bracelet en mailles – cinq dans sa version Jubilee inspirée par la Datejust homme créée en 1945, trois pour les bracelets Oyster et Président – qui se pare selon le modèle d’acier et d’ors jaune, rose, gris, des alliages signés Rolex qui dispose de sa propre fonderie.
Mais tout en gardant sa singularité, elle se plie aux envies et à l’air du temps, arborant tantôt une lunette cannelée tantôt sertie de diamants, un cadran en nacre irisée ou pavé de précieux brillants, des index simples ou des chiffres arabes…
Compagnon de route des femmes actives et audacieuses depuis près de sept décennies, elle a orné le poignet de grandes stars comme Grace Kelly, d’athlètes (la cavalière Jessica Springsteen, les championnes de tennis Chris Evert, hier et Garbiñe Muguruza, aujourd’hui).
Mais également des artistes comme la soprano Kiri Te Kanawa, la pianiste Yuja Wang, ou encore la sitariste Anoushka Shankar et une pléiade d’exploratrices et de scientifiques anonymes ou célèbres comme l’océanographe Sylvia Earle.
Toutes sont mises à l’honneur dans l’exposition consacrée à la Lady-Datejust au Bon marché, qui retrace les heures de gloire de cette icône horlogère dans toutes ses variations, via des pièces présentées, des panneaux illustrés, des vidéos et des éléments comme le mouvement Perpetual 2236 ou le Spiral Siloxy en silicium brevetés par Rolex, qui incarnent avec maestria son sens du temps et de la mesure.
Exposition présentée jusqu’au 30 mars au rez-de-chaussée du Bon Marché Rive Gauche, 24, rue de Sèvres, Paris 7e.
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