Les Menottes dinh van s’affichent en XXL
Devenus cultissimes, ces bijoux iconiques de la marque joaillière assument leur démesure avec un pendentif extravagant où les pierres ornementales s’expriment librement en nuances et en symboles.
Une histoire de lien
Fondée en 1965 par Jean Dinh Van, la maison éponyme casse les codes de la haute joaillerie avec originalité et panache. Au cœur des créations, la Menotte dinh van s’impose comme l’empreinte iconique de la griffe de luxe avec son design reconnaissable et inimitable.
Alors que la majorité des joailliers s’évertuent à dissimuler le fermoir, Jean Dinh Van, au contraire, le place en star de ses créations. Idée née de la difficulté d’ouvrir le fermoir une fois porté à l’instar des menottes, la ligne Menottes dinh van est lancée en 1976. Maintes fois déclinée et réinterprétée, elle persiste et signe avec l’arrivée en collection de deux nouveaux sautoirs remarquables où les pierres ornementales sont reines.
Recto-verso, statu quo
Pendentif Menottes dinh van R35, or jaune, lapis lazuli et nacre.
C’est pendant ses années passées dans les ateliers de Cartier et de Pierre Cardin que Jean Dinh Van se familiarise avec le travail des pierres dures et s’imprègne de leur symbolique forte. Anti-conformiste, il les associe à de nombreuses matières et surtout à l’or jaune. Fidèles à leur ADN, les Menottes dinh van R35 en or jaune, disponibles en série limitée, se transforment en pendentifs XXL – 3,5 cm de diamètre – montés en chaîne « Maillon L ».
Découpées dans une seule plaque, les pierres ornementales, monumentales et sculpturales jouent la carte de la versatilité. Sur un recto en lapis-lazuli, la nacre blanche lui répond de ses reflets irisés, au verso. Tandis que le modèle en malachite contraste avec le noir intense de l’onyx. À l’image des amulettes ancestrales, ces véritables talismans écartent le mauvais œil, par leurs vertus, tout en resserrant les liens avec leur propriétaire.
Prix sur demande