Omega dans l’espace avec Thomas Pesquet
Le spationaute Thomas Pesquet pourra compter sur sa Speedmaster Skywalker X-33 à bord de la Station Spatiale Internationale.
Dixième français sélectionné pour participer à une mission spatiale (la mission Proxima), Thomas Pesquet a décollé de Baïkonour le 17 novembre dernier. Après sept ans d’entraînement, il va passer six mois sur la Station Spatiale Internationale ISS avec, à son poignet, une Speedmaster d’Omega. Loin de ressembler au chronographe historique, la célèbre « Moonwatch », qui a accompagné les premiers pas de l’homme sur la lune le 12 juillet 1969, cette édition est résolument technologique.
Son nom, Speedmaster Skywalker « X-33 », fait référence à un ancien projet de navette spatiale développée par Lockheed Martin et la NASA. Habillé de titane, cet instrument particulièrement léger a été mis au point avec l’Agence Spatiale Européenne (ESA) qui l’a testé et homologué. Son boîtier de 45 mm de diamètre, à lunette tournante bidirectionnelle en céramique, protège un cadran doté d’aiguilles mais aussi d’un écran LCD rétro-luminescent. Omega a placé à l’intérieur de cette Speedmaster un mouvement quartz multifonction à compensation thermique de grande précision. Ce véritable ordinateur miniature contient des fonctions spéciales MET (Mission Elapsed Time) et PET (Phase Elapsed Time), qui affichent le temps écoulé de la mission et celui de ses différentes phases, auxquelles s’ajoutent d’autres « programmes » : chronographe, compte à rebours, GMT (trois fuseaux horaires), calendrier perpétuel et trois alarmes différentes. A noter que vous pouvez suivre l’aventure de Thomas Pesquet sur sa page facebook.
Nicolas YVON