Omega et les secrets du chronométrage : épisode 1/2
Premier épisode de la visite de Frank Sans C chez Omega à Bienne avec l’interview de Raynald Aeschlimann, le CEO d’Omega dans le musée historique de la manufacture. L’occasion de faire le point sur cet incroyable partenariat entre la maison horlogère et le comité international olympique qui dure depuis 1932 ! Omega Chronométreur Officiel de JO Paris 2024, un reportage en deux épisodes avec des surprises, des découvertes et quelques révélations à la hauteur de l’événement. Épisode 1 : la visite du musée OMEGA et l’interview de Raynald Aeschlimann Épisode 2 : la découverte du Laboratoire de Chronométrage et ses incroyables innovations technologiques. À vos marques ! Prêt ? Partez…
La visite du musée et du laboratoire de chronométrage ne doit pas faire oublier la qualité des montres en édition spéciale qu’Omega a imaginé cette année pour l’édition Paris 2024. Au programme une Seamaster et un Chronoscope, pour commencer… Car au début des Jeux Olympiques sera dévoilé un dernier modèle encore secret. Restez connecté.
Seamaster Diver 300M « Paris 2024 »
Dévoilée par Omega en tout début d’année, cette Seamaster Diver 300M en acier de 42 mm vient marquer la 31e participation de la maison horlogère aux Jeux Olympiques.
Aux couleurs de l’édition Paris 2024, la montre arbore fièrement une lunette tournante unidirectionnelle en or Moonshine™, rappelant étrangement les médailles d’or qui honorent les athlètes qui ont excellé dans leur discipline. Inhérent à Omega, ce matériau est un alliage d’argent, de cuivre et de palladium. Ornée d’une échelle de plongée en relief gravée au laser avec un point luminescent placé à midi, la lunette met en valeur un cadran en céramique blanc mat décoré de vaguelettes, caractéristiques de la collection Seamaster. Il affiche quelques références aux Jeux Olympiques et Paralympiques. La trotteuse est pourvue du logo de l’olympiade, logo que l’on retrouve également au verso sur le médaillon en or 18K Moonshine™, estampillé « Paris 2024 », à la finition sablée au laser.
Située à 6 h, la date affiche, quant à elle, la même typographie de l’événement. Étanche à 300 mètres, cette édition spéciale bat au rythme d’un calibre automatique Co-Axial, Master Chronometer, une certification octroyée par METAS, l’Institut Fédéral Suisse de Métrologie. Offrant 55 heures de réserve de marche environ, il est muni d’un spiral en silicium amagnétique. Notons aussi, que la pièce est associée à un bracelet interchangeable, disponible sur NATO, caoutchouc ou vegan, vendu séparément.
9 800 euros
Consulter la fiche technique de la montre Omega Seamaster Diver 300M « Paris 2024 » Special Edition.
Speedmaster Chronoscope
Lui aussi certifié METAS, un calibre à remontage manuel avec roue à colonnes et échappement Co-Axial anime la Speedmaster Chronoscope présentée à J-100 du début des JO Paris 2024.
De 43 mm, la montre offre quatre visages différents : deux versions en acier, associées sur un bracelet en métal ou en cuir noir perforé ; deux modèles en or 18K Moonshine™, sur un bracelet en or 18K Moonshine™ ou en cuir de veau lisse noir.
Elles se distinguent toutes par un cadran opalin blanc argenté agrémenté de deux échelles de mesure centrales – télémétrique et pulsométrique – en colimaçon, inspiré d’un motif aperçu dans les années 1940. Au style résolument rétro, il est rehaussé d’une troisième échelle, tachymétrique cette fois-ci, placée à l’extérieur sur une lunette en aluminium anodisé pour les références en acier, ou en céramique pour les pièces en or 18K Moonshine™.
De plus, au verso, le fond du boîtier plein, arbore un effet givré où la flamme, les anneaux olympiques, l’inscription « Paris 20214 » sont polis pour apporter un contraste indéniable à l’ensemble.
Speedmaster Chronoscope – acier : 10 800 euros / acier sur bracelet cuir : 10 400 euros
Speedmaster Chronoscope – or Moonshine™ : 56 600 euros / or Moonshine™ sur bracelet cuir : 36 000 euros
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