Plein la vue avec les lunettes TAG Heuer Avant-Garde Eyewear
La maison horlogère TAG Heuer que l’on connaît pour ses montres performantes au design iconique, dévoile une collection de lunettes de vue et solaires innovantes et haut de gamme dont la qualité et le confort non rien à envier aux plus grandes marques de lunetterie, conçues en symbiose parfaite avec la marque de luxe Thélios.
Entre 2002 et 2016, TAG Heuer s’est imposé dans l’univers de la lunetterie de luxe avec notamment la création de la Reflex 27° qui a connu ses heures de gloire. Aujourd’hui, après une pause de quelques années, elle revient sur le devant de la scène, avec un partenaire de choix, le fabricant Thélios, gage d’excellence et de savoir-faire artisanal à l’italienne.
Autour de trois gammes
La collection TAG Heuer Avant-Garde Eyewear s’articule autour de trois lignes qui s’accordent à chaque profil et type de vie.
La première, baptisée Pro Performance, se destine aux athlètes et aux aventuriers désireux de repousser leurs limites. Les modèles sont d’ailleurs imaginés dans ce sens pour résister aux conditions extrêmes. Bel entre-deux, la gamme Sport Performance se distingue par sa versalité. À la fois élégantes et fonctionnelles, les pièces s’adaptent à tous les sports sans oublier l’allure qu’elles renvoient sur le terrain. Pour finir, la Daily Performance affiche la différence et surtout la polyvalence. Résolument sportives, les lunettes n’en restent pas moins conformes à la jungle urbaine.
TAG Heuer Bolide – 350 euros
TAG Heuer Vingt Sept – 480 euros
Autour du matériau
Réputées pour leur extrême légèreté, leur technologie de pointe et leur design avant-gardiste, les lunettes sont façonnées dans divers matériaux. La collection est composée de cinq références – Shield Pro, Vingt-Sept, Line, Flex et Bolide – dotées de leurs propres caractéristiques.
La Shield Pro est équipée de montures en caoutchouc élastique qui lui confère flexibilité ; la Vingt-Sept est munie de branches avec le gogo TAG Heuer et des charnières emblématiques ; la Line présente un pont en fibre textile Dyneema® et en titane imprimé 3D qui accentue la souplesse et la durabilité ; les Flex possèdent des inserts en titane intégrés à l’intérieur des branches et des montures sans charnières ni cercles. TAG Heuer a également utilisé des matériaux recyclés tel que le liège, le graphite et des composants à base de carbone. L’ensemble de ces matières s’inspire de l’aéronautique et de la Formula 1, créées pour résister aux conditions difficiles.
TAG Heuer Vingt-Sept, monture noire en mélange de bio-nylon et de fibre de carbone semi-mat, charnières métalliques en acier noir mat Ruthénium.
TAG Heuer Line, monture noire en mélange de bio-nylon et de fibre de carbone semi-mat, câble Dyneema® noir.
« La nouvelle collection de lunettes TAG Heuer représente le summum de l’innovation et du design de haute qualité. Chaque modèle adhère à des normes d’excellence, faisant appel à des matériaux de pointe et à des détails conçus pour une performance optimale à toute épreuve. Cette collection apporte une esthétique avant-gardiste dans laquelle les lunettes ne sont plus liées à leur fonction d’usage, elles puisent leur style dans la beauté de la technologie. »
Renato Montagner, architecte italien et directeur artistique de TAG Heuer Eyewear.
Autour du visage
Toutes les déclinaisons sont fabriquées pour devenir presque invisibles lorsqu’elles sont portées. Elles ne font qu’un avec leurs propriétaires. Cet ajustement sur mesure est accentué par des tendons élastiques qui s’inspirent de la contraction de nos propres tendons et muscles. Tout ce travail autour du visage est complété par le choix entre trois tailles de plaquettes de nez pour un « fit » parfait avec les différentes formes de visages.
Autour du verre
Les verres méritent aussi l’attention. Usinés en bio-nylon, ils ont subi un traitement anti-poussière et hydrophobe. Ce mariage bloque les rayons infrarouges et UV, réduit la buée, atténue la fatigue oculaire, et élimine environ 37 % de la lumière polarisée due aux écrans. Innovants à plus d’un titre.
Pour (re)voir l’interview de Renato Montagner :
À lire également :