Vacheron Constantin : The Sound of Time

Dans le cadre de l’événement de Watches & Wonders, premier événement d’horlogerie fine en Asie et qui se déroulera à Hong Kong du 25 au 28 septembre 2013, la Maison de Haute Horlogerie genevoise Vacheron Constantin propose un parcours expérimental mettant en musique et en lumière quelques-unes des plus belles montres à sonnerie de son patrimoine.

Du 25 au 28 septembre 2013, la Manufacture met à l’honneur en Asie plusieurs montres à sonnerie. Cette rencontre – placée sous le sceau de l’échange – marque la volonté de la manufacture de présenter un pan de son activité ininterrompue depuis 1755.

Très tôt la manufacture genevoise s’est fait connaître avec des montres à sonnerie exceptionnelles. Jacques Barthélémi Vacheron, petit-fils du fondateur, fut lui-même un spécialiste de montres à répétitions avant de prendre les rênes de la Maison au début du XIXème siècle.

La réputation de la manufacture en matière de montres à sonneries grandit alors, et les collectionneurs les plus illustres passent commande, comme par exemple Sir Bhupindra Singh, Maharadjah de Patiala qui acquiert une montre de poche avec chronographe-compteur, réveil, jour, date, et phases de lune datant de 1909, ou le célèbre constructeur automobile américain James Ward Packard, qui commande en 1918, une montre de poche à grande et petite sonneries, répétitions à quarts et demi-quarts, chronographe-compteur 30 minutes.

Les visiteurs pourront découvrir dans cette exposition une montre de poche répétition à quarts en or rouge et cadran guilloché de 1812 qui atteste de cette longue tradition. Tout comme cette montre de poche, répétition à quarts, heure sautante et petites secondes de 1827. Chaque vitrine de l’exposition sera l’occasion de pénétrer plus avant dans les mystères d’une complication rare, plébiscitée par d’illustres collectionneurs.

L’avènement de la montre bracelet au XXème siècle amène les horlogers à déployer des trésors d’ingéniosité pour miniaturiser les mécanismes de sonnerie afin de répondre aux exigences de boîtiers plus petits et plus fins. Ceci donne naissance à de véritables prouesses d’ultime finesse, comme cette répétition minutes de 1955 au calibre inférieur à 3,28 mm.

D’autres garde-temps ultrafins accueillant de multiples complications se succèdent, et ne le cèdent en rien à la beauté pure, incarnée dans cette exposition par une répétition minutes au mouvement entièrement squeletté et décoré à la main.

Pour la première fois à Hong Kong, Vacheron Constantin évoque un volet de la Haute Horlogerie qui continue à fasciner, encore et toujours. Une fois de plus, les garde-temps précieux de la Maison genevoise invitent au cœur du génie humain.