Les Cabinotiers – Ode to Konohanasakuya-hime

1420C/000G-162C

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Les Cabinotiers – Ode to Konohanasakuya-hime

Marque  : Vacheron Constantin
Collection  : Cabinotiers
Modèle  : Les Cabinotiers – Ode to Konohanasakuya-hime
Référence  : 1420C/000G-162C
Complément : Or Gris - Bracelet Satin
En vente depuis : 2024

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Demande du prix pour Les Cabinotiers – Ode to Konohanasakuya-himeRef. 1420C/000G-162C

Les Cabinotiers – Ode to Konohanasakuya-hime

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  • Marque  : Vacheron Constantin
    Collection  : Cabinotiers
    Modèle  : Les Cabinotiers – Ode to Konohanasakuya-hime
    Référence  : 1420C/000G-162C
    Complément : Or Gris - Bracelet Satin
    En vente depuis : 2024
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 36 mm
    Epaisseur : 8.00 mm
    Styles : Haute Horlogerie
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 1440
    Calibre distinction : Poinçon de Genève
    Complication : Heures et minutes
    Matière du boîtier : Or gris
    Particularité du boitier : Fond transparent
    Fond saphir
    Forme : Ronde
    Cadran : Or
    Matière du bracelet : Satin
    Couleur du bracelet : Rose
    Fermeture du bracelet : Boucle ardillon
    + Plus de caractéristiques :
    Mouvement
    Calibre 1440
    Développé et manufacturé par Vacheron Constantin
    Mécanique à remontage automatique
    22.10 mm de diamètre, 2.60 mm d’épaisseur
    Réserve de marche du mouvement : environ 42 heures
    4 Hz (28'800 alternances/heure)
    116 composants
    19 rubis
    Garde-temps certifié du Poinçon de Genève

    Boitier
    Or gris 750/1000

    Cadran
    Or 750/1000 gravure taille douce et émail miniature Grand feu, représentant Konohanasakuya-hime

    Bracelet / Boucles
    Satin rose avec doublure beige, cousu main
    Fermoir Boucle ardillon en or gris 750/1000

    Ecrin & accessoire Modèle Les Cabinotiers

    Pièce unique
    Gravures « Pièce unique », « Les Cabinotiers » et blason « AC » au dos de la montre

DESCRIPTION

  • Les Cabinotiers Le Temps Divin La culture japonaise, le temps et les métiers d’art

    Embargo levé le 12 novembre 2024, 9AM CET

    • En proposant de remonter aux origines mythologiques du Temps, Vacheron Constantin s’est intéressée à sa dimension métaphysique à travers le prisme de la culture Japonaise.

    • Pour incarner ce temps métaphysique, le choix s’est porté sur trois figures de la mythologie Japonaise : Izanagi, Amaterasu, Konohanasakuya-hime.

    • Des divinités et leurs environnements respectifs qui prennent vie sur des cadrans résultant d’une subtile combinaison de gravure intaglio, émail grisaille et émail miniature.

     La série Les Cabinotiers Le Temps Divin explore la notion de temps dans ses différentes perceptions culturelles et conceptuelles : tantôt physique et linéaire comme une chronologie ; tantôt astronomique et cyclique comme les saisons ; tantôt métaphysique dans l'étirement infini de l'instant présent. Pour chacune de ces interprétations, Vacheron Constantin propose un voyage vers différents horizons culturels, une odyssée horlogère rythmée par la mécanique du temps et mise en scène par des métiers d'art.

    Pour incarner le temps métaphysique, les créations Les Cabinotiers se sont référées à la symbolique japonaise au travers de trois figures marquantes. Pour représenter ces Kami (divinités) sur les cadrans, la Maison a fait appel aux savoir-faire conjugués de ses graveur et émailleur.

    Le temps à travers le prisme de la culture japonaise

    La nouvelle série de montres à exemplaires uniques répondant à la thématique Le Temps Divin s’inscrit sous le signe d’une quête philosophique et culturelle. En proposant de remonter aux origines mythologiques du Temps, Vacheron Constantin s’est intéressée à sa dimension métaphysique : un temps qualitatif, émaillé des hauts faits des divinités, mais aussi un temps intime, vécu éternellement aux moments les plus intenses.

    Ce temps abstrait trouve une interprétation de choix au travers de la mythologie Japonaise qui met en scène nombre de divinités, ou kami, dont l’énergie cosmique a exercé une influence majeure sur l’Univers. En agissant au moment opportun, ces divinités ont changé le cours des événements, donnant un caractère sacré à leur action et de la profondeur à ces instants fatidiques. En descendant sur Terre pour y insuffler la vie, les kamis ont ainsi créé l’archipel japonais, chargeant le premier empereur Jinmu de fonder la nation. De cette communion avec les forces de l’Univers découle la vision d’un temps infini où les moments du passé sont d’une troublante acuité présente.

    Divinités majeures de la mythologie Japonaise

    Pour incarner ce temps métaphysique, Vacheron Constantin fait ainsi ressortir trois figures. Ces références à la culture japonaise ne sont pas nouvelles pour la Maison. En attestent des nombreuses pièces métiers d’art datant notamment du début du 20e siècle, à l’instar notamment de cette montre de poche « samouraï » de 1924, de cette montre-broche dame émaillée et sertie réalisée la même année avec un décor d'inspiration japonaise ou encore cette pendule de table de 1935 en triptyque laquée et également décorée d’une scène de samouraï.

    Les kami mis en exergue sur les cadrans sont représentés de manière décentrée, comme le veut la tradition japonaise. Dieu de la création, Izanagi est en effet considéré, avec sa sœur-épouse Izanami, comme le fondateur du Japon. Avec pour mission de donner forme au chaos primordial et de créer un monde, il s’en chargea en frappant l’océan de sa lance sacrée, donnant naissance à l’archipel nippon né des gouttelettes d’eau solidifiées. Sur le cadran du garde-temps réalisé en son honneur, on observe ainsi la divinité pointant sa lance vers l’océan.

    La deuxième pièce est dédiée à Amaterasu, considérée comme une importante divinité. Selon la mythologie, née de l’œil gauche de son père Izanagi, cette déesse du soleil a donné naissance à la lignée de tous les empereurs japonais, et introduit dans l’archipel la culture du riz, du blé et l’élevage des vers à soie. C’est elle qui figure symboliquement sur le drapeau japonais sous la forme d’un disque solaire accompagné ou non de ses rayons. On retrouve ainsi cette figure emblématique représentée en vêtements d’apparat colorés sur le cadran, nimbée de rayons évanescents, portant dans ses bras le disque solaire et un rameau de sakaki, cléyère à fleurs sacrée.

    La troisième pièce représente Konohanasakuya-hime, la déesse du mont Fuji et de tous les volcans de l’archipel richement vêtue. Entourée de la lune et de rameaux de cerisier en fleur, attributs symboliques de cette princesse-fleur, elle porte le jūnihitoe, costume de cour à l’époque de Heian (794-1185) composé traditionnellement de douze couches de vêtements offrant une combinaison de teintes accordées aux saisons. Konohanasakuya-hime a été choisie pour devenir l’épouse de Ninigi, le petit-fils d’Amaterasu, symbolisant la vie humaine aussi belle qu’éphémère, comme les fleurs de cerisier. Au loin, apparaît dans la brume la silhouette du mont Fuji dont elle avait la garde pour d’empêcher son entrée en éruption.

    Une combinaison subtile de la gravure intaglio, de l’émail grisaille et de l’émail miniature

    Les cadrans en or de ces pièces passent par une première étape de gravure. Pour donner consistance à l’environnement éthéré des divinités, fait de brume, de nuages, d’écume de mer, le graveur a recours à la technique de l’intaglio (entaille). Souvent utilisée dans l’univers de l’estampe, celle-ci consiste à graver des microsillons à la pointe sèche, d’une profondeur d’à peine quelques centièmes de millimètre. En créant des barbes (nom donné aux infimes morceaux de métal retiré) le graveur donne un velouté unique à la matière, particulièrement adapté au décor de cette pièce qui joue sur les textures et les reflets. Après une vingtaine d’heures de travail, il applique une couche protectrice de fondant translucide sur le cadran.

    La pièce passe ensuite sur l’établi de l’émailleur qui commence par travailler la silhouette des dieux au Blanc de Limoges, une poudre d’émail opalescent particulièrement adaptée au clair obscur. Deux couches passées au feu sont nécessaires pour fixer les teintes du décor et les contours des kami. Commence ensuite le patient et délicat travail de peinture sur émail en miniature sous binoculaire à l’aide de pinceaux spéciaux à seulement quelques poils afin de reproduire couleurs et détails du tableau. Pas moins de 6 à 7 couches successives, chacune chauffée à une température comprise en 800° et 900°, sont nécessaires pour obtenir toute la richesse chromatique et la profondeur de cette mise en scène des dieux mythologiques. Pour terminer et donner du lustre, l’émailleur applique deux couches d’émail translucide qui sont délicatement lapidées, faisant ressortir les formes et les couleurs.

    Chaque cadran a demandé trois semaines de travail à l’émailleur

    Questions à Sandrine Donguy, Directrice Produit et Innovation

    Pour ces pièces, Vacheron Constantin évoque un Temps métaphysique. Pouvez-vous donner quelques explications ?

    Cette nouvelle collection Les Cabinotiers a été placée sous la thématique du Temps Divin qui se propose d’explorer, sous une forme horlogère évidemment, les différentes notions liées au concept du Temps : temps physique, cyclique et métaphysique. Or les récits mythologiques offrent un excellent contexte narratif pour illustrer ces différentes acceptions du terme. D’où la référence au divin, compris comme un univers où les divinités édictent les lois de l’Univers et donc du temps. Dans le panthéon des anciens, on trouve ainsi des figures tutélaires auxquelles se réfèrent ces différentes notions. Il n’était toutefois pas question de se limiter à la seule tradition gréco-romaine. L’une des caractéristiques de Vacheron Constantin tient à son ouverture au monde et au différentes cultures rencontrées au fil de son développement commercial entamé au début du 19e siècle. Avec cette nouvelle thématique, il s’agissait dès lors de rendre hommage à cette diversité culturelle, que l’on retrouve au sein des collections historiques de la Maison, en faisant appel aux métiers d’art et à l’ingéniosité des horlogers de Vacheron Constantin. Dans ce contexte, la mythologie Japonaise offrait un excellent sujet d’étude.

    Quels métiers d’art ont été retenus pour ces trois pièces ?

    Pour donner vie à ces divinités, il s’agissait d’obtenir une parfaite définition du trait et de la coloration mais dans un décor éthéré, comme flouté, afin de donner de la profondeur à ces compositions réalisées de manière asymétrique, comme le veut la tradition japonaise. Une seule technique ne suffisait donc pas. La gravure, qui demande une vingtaine d’heures par cadran, sert à planter le décor tandis que la précision de la peinture sur émail en miniature donne un élan de réalisme au tableau après trois semaines d’un travail minutieux.

    Pourquoi le choix de ces divinités ?

    Ce choix correspond aux recherches effectuées qui ont fait ressortir ces divinités de la mythologie Japonaise non seulement pour le rôle central qu’elles jouent dans cette cosmologie mais également en raison des représentations « graphiques » qu’elles ont inspirées. Il s’agit toujours de trouver le bon équilibre entre les thèmes retenus, la manière de les réaliser et la sensibilité aux métiers d’art.

  • Les Cabinotiers Le Temps Divin La culture japonaise, le temps et les métiers d’art

    Embargo levé le 12 novembre 2024, 9AM CET

    • En proposant de remonter aux origines mythologiques du Temps, Vacheron Constantin s’est intéressée à sa dimension métaphysique à travers le prisme de la culture Japonaise.

    • Pour incarner ce temps métaphysique, le choix s’est porté sur trois figures de la mythologie Japonaise : Izanagi, Amaterasu, Konohanasakuya-hime.

    • Des divinités et leurs environnements respectifs qui prennent vie sur des cadrans résultant d’une subtile combinaison de gravure intaglio, émail grisaille et émail miniature.

     La série Les Cabinotiers Le Temps Divin explore la notion de temps dans ses différentes perceptions culturelles et conceptuelles : tantôt physique et linéaire comme une chronologie ; tantôt astronomique et cyclique comme les saisons ; tantôt métaphysique dans l'étirement infini de l'instant présent. Pour chacune de ces interprétations, Vacheron Constantin propose un voyage vers différents horizons culturels, une odyssée horlogère rythmée par la mécanique du temps et mise en scène par des métiers d'art.

    Pour incarner le temps métaphysique, les créations Les Cabinotiers se sont référées à la symbolique japonaise au travers de trois figures marquantes. Pour représenter ces Kami (divinités) sur les cadrans, la Maison a fait appel aux savoir-faire conjugués de ses graveur et émailleur.

    Le temps à travers le prisme de la culture japonaise

    La nouvelle série de montres à exemplaires uniques répondant à la thématique Le Temps Divin s’inscrit sous le signe d’une quête philosophique et culturelle. En proposant de remonter aux origines mythologiques du Temps, Vacheron Constantin s’est intéressée à sa dimension métaphysique : un temps qualitatif, émaillé des hauts faits des divinités, mais aussi un temps intime, vécu éternellement aux moments les plus intenses.

    Ce temps abstrait trouve une interprétation de choix au travers de la mythologie Japonaise qui met en scène nombre de divinités, ou kami, dont l’énergie cosmique a exercé une influence majeure sur l’Univers. En agissant au moment opportun, ces divinités ont changé le cours des événements, donnant un caractère sacré à leur action et de la profondeur à ces instants fatidiques. En descendant sur Terre pour y insuffler la vie, les kamis ont ainsi créé l’archipel japonais, chargeant le premier empereur Jinmu de fonder la nation. De cette communion avec les forces de l’Univers découle la vision d’un temps infini où les moments du passé sont d’une troublante acuité présente.

    Divinités majeures de la mythologie Japonaise

    Pour incarner ce temps métaphysique, Vacheron Constantin fait ainsi ressortir trois figures. Ces références à la culture japonaise ne sont pas nouvelles pour la Maison. En attestent des nombreuses pièces métiers d’art datant notamment du début du 20e siècle, à l’instar notamment de cette montre de poche « samouraï » de 1924, de cette montre-broche dame émaillée et sertie réalisée la même année avec un décor d'inspiration japonaise ou encore cette pendule de table de 1935 en triptyque laquée et également décorée d’une scène de samouraï.

    Les kami mis en exergue sur les cadrans sont représentés de manière décentrée, comme le veut la tradition japonaise. Dieu de la création, Izanagi est en effet considéré, avec sa sœur-épouse Izanami, comme le fondateur du Japon. Avec pour mission de donner forme au chaos primordial et de créer un monde, il s’en chargea en frappant l’océan de sa lance sacrée, donnant naissance à l’archipel nippon né des gouttelettes d’eau solidifiées. Sur le cadran du garde-temps réalisé en son honneur, on observe ainsi la divinité pointant sa lance vers l’océan.

    La deuxième pièce est dédiée à Amaterasu, considérée comme une importante divinité. Selon la mythologie, née de l’œil gauche de son père Izanagi, cette déesse du soleil a donné naissance à la lignée de tous les empereurs japonais, et introduit dans l’archipel la culture du riz, du blé et l’élevage des vers à soie. C’est elle qui figure symboliquement sur le drapeau japonais sous la forme d’un disque solaire accompagné ou non de ses rayons. On retrouve ainsi cette figure emblématique représentée en vêtements d’apparat colorés sur le cadran, nimbée de rayons évanescents, portant dans ses bras le disque solaire et un rameau de sakaki, cléyère à fleurs sacrée.

    La troisième pièce représente Konohanasakuya-hime, la déesse du mont Fuji et de tous les volcans de l’archipel richement vêtue. Entourée de la lune et de rameaux de cerisier en fleur, attributs symboliques de cette princesse-fleur, elle porte le jūnihitoe, costume de cour à l’époque de Heian (794-1185) composé traditionnellement de douze couches de vêtements offrant une combinaison de teintes accordées aux saisons. Konohanasakuya-hime a été choisie pour devenir l’épouse de Ninigi, le petit-fils d’Amaterasu, symbolisant la vie humaine aussi belle qu’éphémère, comme les fleurs de cerisier. Au loin, apparaît dans la brume la silhouette du mont Fuji dont elle avait la garde pour d’empêcher son entrée en éruption.

    Une combinaison subtile de la gravure intaglio, de l’émail grisaille et de l’émail miniature

    Les cadrans en or de ces pièces passent par une première étape de gravure. Pour donner consistance à l’environnement éthéré des divinités, fait de brume, de nuages, d’écume de mer, le graveur a recours à la technique de l’intaglio (entaille). Souvent utilisée dans l’univers de l’estampe, celle-ci consiste à graver des microsillons à la pointe sèche, d’une profondeur d’à peine quelques centièmes de millimètre. En créant des barbes (nom donné aux infimes morceaux de métal retiré) le graveur donne un velouté unique à la matière, particulièrement adapté au décor de cette pièce qui joue sur les textures et les reflets. Après une vingtaine d’heures de travail, il applique une couche protectrice de fondant translucide sur le cadran.

    La pièce passe ensuite sur l’établi de l’émailleur qui commence par travailler la silhouette des dieux au Blanc de Limoges, une poudre d’émail opalescent particulièrement adaptée au clair obscur. Deux couches passées au feu sont nécessaires pour fixer les teintes du décor et les contours des kami. Commence ensuite le patient et délicat travail de peinture sur émail en miniature sous binoculaire à l’aide de pinceaux spéciaux à seulement quelques poils afin de reproduire couleurs et détails du tableau. Pas moins de 6 à 7 couches successives, chacune chauffée à une température comprise en 800° et 900°, sont nécessaires pour obtenir toute la richesse chromatique et la profondeur de cette mise en scène des dieux mythologiques. Pour terminer et donner du lustre, l’émailleur applique deux couches d’émail translucide qui sont délicatement lapidées, faisant ressortir les formes et les couleurs.

    Chaque cadran a demandé trois semaines de travail à l’émailleur

    Questions à Sandrine Donguy, Directrice Produit et Innovation

    Pour ces pièces, Vacheron Constantin évoque un Temps métaphysique. Pouvez-vous donner quelques explications ?

    Cette nouvelle collection Les Cabinotiers a été placée sous la thématique du Temps Divin qui se propose d’explorer, sous une forme horlogère évidemment, les différentes notions liées au concept du Temps : temps physique, cyclique et métaphysique. Or les récits mythologiques offrent un excellent contexte narratif pour illustrer ces différentes acceptions du terme. D’où la référence au divin, compris comme un univers où les divinités édictent les lois de l’Univers et donc du temps. Dans le panthéon des anciens, on trouve ainsi des figures tutélaires auxquelles se réfèrent ces différentes notions. Il n’était toutefois pas question de se limiter à la seule tradition gréco-romaine. L’une des caractéristiques de Vacheron Constantin tient à son ouverture au monde et au différentes cultures rencontrées au fil de son développement commercial entamé au début du 19e siècle. Avec cette nouvelle thématique, il s’agissait dès lors de rendre hommage à cette diversité culturelle, que l’on retrouve au sein des collections historiques de la Maison, en faisant appel aux métiers d’art et à l’ingéniosité des horlogers de Vacheron Constantin. Dans ce contexte, la mythologie Japonaise offrait un excellent sujet d’étude.

    Quels métiers d’art ont été retenus pour ces trois pièces ?

    Pour donner vie à ces divinités, il s’agissait d’obtenir une parfaite définition du trait et de la coloration mais dans un décor éthéré, comme flouté, afin de donner de la profondeur à ces compositions réalisées de manière asymétrique, comme le veut la tradition japonaise. Une seule technique ne suffisait donc pas. La gravure, qui demande une vingtaine d’heures par cadran, sert à planter le décor tandis que la précision de la peinture sur émail en miniature donne un élan de réalisme au tableau après trois semaines d’un travail minutieux.

    Pourquoi le choix de ces divinités ?

    Ce choix correspond aux recherches effectuées qui ont fait ressortir ces divinités de la mythologie Japonaise non seulement pour le rôle central qu’elles jouent dans cette cosmologie mais également en raison des représentations « graphiques » qu’elles ont inspirées. Il s’agit toujours de trouver le bon équilibre entre les thèmes retenus, la manière de les réaliser et la sensibilité aux métiers d’art.

  • Marque  : Vacheron Constantin
    Collection  : Cabinotiers
    Modèle  : Les Cabinotiers – Ode to Konohanasakuya-hime
    Référence  : 1420C/000G-162C
    Complément : Or Gris - Bracelet Satin
    En vente depuis : 2024
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 36 mm
    Epaisseur : 8.00 mm
    Styles : Haute Horlogerie
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 1440
    Calibre distinction : Poinçon de Genève
    Complication : Heures et minutes
    Matière du boîtier : Or gris
    Particularité du boitier : Fond transparent
    Fond saphir
    Forme : Ronde
    Cadran : Or
    Matière du bracelet : Satin
    Couleur du bracelet : Rose
    Fermeture du bracelet : Boucle ardillon
    Plus de caractéristiques :
    Mouvement
    Calibre 1440
    Développé et manufacturé par Vacheron Constantin
    Mécanique à remontage automatique
    22.10 mm de diamètre, 2.60 mm d’épaisseur
    Réserve de marche du mouvement : environ 42 heures
    4 Hz (28'800 alternances/heure)
    116 composants
    19 rubis
    Garde-temps certifié du Poinçon de Genève

    Boitier
    Or gris 750/1000

    Cadran
    Or 750/1000 gravure taille douce et émail miniature Grand feu, représentant Konohanasakuya-hime

    Bracelet / Boucles
    Satin rose avec doublure beige, cousu main
    Fermoir Boucle ardillon en or gris 750/1000

    Ecrin & accessoire Modèle Les Cabinotiers

    Pièce unique
    Gravures « Pièce unique », « Les Cabinotiers » et blason « AC » au dos de la montre