Tourbillon – Ode to the four Guardians “White Tiger”

6040C/000R-155C

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Tourbillon – Ode to the four Guardians “White Tiger”

Marque  : Vacheron Constantin
Collection  : Cabinotiers
Modèle  : Tourbillon – Ode to the four Guardians “White Tiger”
Référence  : 6040C/000R-155C
Complément : Or Rose - Cadran Anthracite - Bracelet Cuir d’Alligator
En vente depuis : 2024

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  • Marque  : Vacheron Constantin
    Collection  : Cabinotiers
    Modèle  : Tourbillon – Ode to the four Guardians “White Tiger”
    Référence  : 6040C/000R-155C
    Complément : Or Rose - Cadran Anthracite - Bracelet Cuir d’Alligator
    En vente depuis : 2024
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 42 mm
    Epaisseur : 11.40 mm
    Styles : Vintage
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 2160
    Calibre distinction : Poinçon de Genève
    Masse oscillante périphérique en or 916/1000
    Complication : Heures et minutes
    Tourbillon
    Petite seconde sur cage tourbillon (vis de couleur)
    Matière du boîtier : Or rose
    Particularité du boitier : Fond saphir
    Fond transparent
    Forme : Ronde
    Cadran : Marqueterie
    Couleur du cadran : Anthracite
    Matière du bracelet : Cuir d’alligator
    Couleur du bracelet : Brun
    Fermeture du bracelet : Boucle déployante
    + Plus de caractéristiques :
    Mouvement
    Calibre 2160
    Développé et manufacturé par Vacheron Constantin
    Mécanique à remontage automatique
    31.00 mm de diamètre, 5.60 mm d’épaisseur
    Réserve de marche du mouvement : environ 80 heures
    2.5 Hz (18'000 alternances/heure)
    188 composants
    30 rubis
    Masse oscillante périphérique en or 916/1000
    Garde-temps certifié du Poinçon de Genève

    Boitier
    Or rose 5N 750/1000

    Cadran
    Cadran en marqueterie de bois (érable moucheté anthracite, érable moucheté teinté blanc, sycomore ondé décoloré, loupe de Madrona décoloré, érable sycomore naturel, amarante, padouk, satiné, charme échauffé, tulipier teinté bleu) représentant le tigre blanc

    Bracelet / Boucles
    Cuir d’alligator Mississippiensis brun avec doublure en cuir d’alligator, cousu main, finition sellier, grandes écailles carrées
    Boucle déployante en or rose 5N 750/1000

    Ecrin & accessoire Modèle Les Cabinotiers

    Pièce unique
    Gravures « Pièce unique », « Les Cabinotiers » et blason « AC » au dos de la montre

DESCRIPTION

  • Les Cabinotiers Le Temps Divin Culture asiatique, saisons et marqueterie de bois

    Embargo levé le 12 novembre 2024, 9AM CET

     • En proposant de remonter aux origines mythologiques du Temps, Vacheron Constantin s’est intéressée à sa dimension cyclique à travers les saisons.

    • Quatre animaux sacrés de la tradition asiatique ont été choisis pour incarner les saisons : le Dragon azur pour le printemps ; l’Oiseau vermillon pour l’été ; le Tigre blanc pour l’automne ; la Tortue noire pour l’hiver.

    • La combinaison des arts décoratifs avec la marqueterie de bois et du génie mécanique avec le calibre 2160 ultra-plat à tourbillon.

    La série Les Cabinotiers Le Temps Divin explore la notion de temps dans ses différentes perceptions culturelles et conceptuelles : tantôt physique et linéaire comme une chronologie ; tantôt astronomique et cyclique comme les saisons ; tantôt métaphysique dans l'étirement infini de l'instant présent. Pour chacune de ces interprétations, Vacheron Constantin propose un voyage vers différents horizons culturels, une odyssée horlogère rythmée par la mécanique du temps et mise en scène par des métiers d'art.

    Pour incarner le temps cyclique, fait d’alternance de phénomènes astronomiques, de déclins et de renaissance, Vacheron Constantin a opté pour la succession des saisons. Chacune d’entre elles est symbolisée par un animal sacré de la culture traditionnelle asiatique, mise en relief par un travail de marqueterie sur bois. Les pièces sont dotées d’un dispositif à tourbillon, actionné par le calibre ultra-plat 2160.

    Le temps cyclique

    L’alternance du jour et de la nuit, des saisons et des lunaisons a très tôt incité les hommes à y chercher une régularité. L’horlogerie est née de ces observations, donnant progressivement au temps une identité scientifique qui n’a cessé de progresser. Du temps cyclique est ainsi né le temps physique, à séquencer et mesurer, puis le temps métaphysique, qui alimente une réflexion plus profonde sur un concept inhérent aux fondements de notre univers. La thématique Le Temps Divin explore ces différentes acceptions du terme, donnant au temps cyclique le visage des saisons tel qu’il apparaît dans les cultures asiatiques en général et chinoise en particulier.

    Ce n’est pas la première fois que Vacheron Constantin s’intéresse au cycle des saisons dans les différentes cultures, comme en attestent les collections Métiers d’Art – Le char d’Apollon les quatre saisons ou encore les Métiers d’Art – La symbolique des laques. La Maison s’est également déjà penchée sur le cycle du zodiaque chinois qui a également inspiré de nombreuses pièces de la Maison au rang desquelles cette montre Mercator signes du zodiaque des années 1990 ou cette horloge de table art déco de 1927.

    Des animaux sacrés pour symboliser les quatre saisons

    Le rythme des saisons et des années revêt une importance hautement symbolique dans les cultures asiatiques, souvent associé à des créatures mythologiques et aux signes du zodiaque. Dans une telle cosmogonie, l’écliptique céleste, cette ligne imaginaire correspondant au déplacement apparent du Soleil observé depuis la Terre, est divisé en quatre sections de sept constellations, chacune étant représentée par son animal sacré : le Dragon azur, symbole de force et de pouvoir pour l’Est et le printemps ; l’Oiseau vermillon, symbole de chance et de prospérité pour le Sud et l’été ; le Tigre blanc, symbole de sérieux et de courage pour l’Ouest et l’automne ; la Tortue noire, symbole de sagesse et de longévité pour le Nord et l’hiver. Ces animaux ont ainsi pris forme sous le geste du marqueteur. En guise d’inspiration, il a notamment pu s’intéresser aux peintures murales du tumulus de Kitora au Japon, un tombeau circulaire datant du 7e siècle, représentant ces animaux mythiques.

    La combinaison d’arts décoratifs et du génie mécanique

    Le travail du marqueteur consiste à utiliser différentes essences de bois aux tonalités variées qu’il découpe, organise, assemble et plaque selon le motif à réaliser. Pour ce faire, il dispose de quelque 150 types de bois couvrant une soixantaine de couleurs naturelles, soit des « feuilles » ou placages de bois conservés à bonnes température et hygrométrie. Pour ces pièces Les Cabinotiers et selon le cadran, 10 à 12 essences ont été sélectionnées : sycomore, padouk, charme, tulipier, myrte bleue, eucalyptus, érable, bois de ronce, chêne, noyer… dont certaines ont été teintés, voire chauffées pour obtenir la bonne coloration.

    Le marqueteur commence par dessiner son motif selon des dimensions quatre fois supérieures à la taille du cadran. Le trait doit être net et précis avant que le dessin soit ramené à ses justes proportions et imprimé en autant de tirages nécessaires à la découpe. Celle ci intervient sur papier-calque pour chacune des pièces constitutives de la marqueterie, en prenant soin de laisser le pourtour dégagé. L’étape suivante, la plus délicate, consiste à appliquer ces calques sur un « mille-feuilles » de bois, soit une superposition d’une dizaine de couches de placage d’une épaisseur de 0,6 mm chacune destinées à être sciées d’un bloc afin d’en faciliter la découpe. L’opération se fait à la scie à chantourner, actionnée au pied par une pédale, le but étant de partager en deux le trait de dessin d’une largeur de l’ordre du dixième de millimètre. Vient enfin l’assemblage, comme un puzzle, des composants délicatement poncés, voire préalablement chauffés ou teintés. A ce stade, ils ne mesurent plus que 0,4mm d’épaisseur et, pour certains, guère davantage en largeur. Le collage se fait sur le support définitif avant ponçage final pour mise à niveau et vernissage.

    Cette précision millimétrique propre à la marqueterie sur bois est d’autant plus complexe qu’elle exige souvent un très grand nombre de pièces constitutives, soit en moyenne plus de 200 minuscules composants issus de 8 à 10 essences différentes pour chacun des cadrans. La réalisation du dragon nécessite par exemple une pièce de bois pour chacune de ses écailles.

    Au total, la réalisation d’un seul cadran demande un mois et demi de travail.

    La finesse du boîtier des quatre modèles tient au calibre 2160 ultra-plat, d’une hauteur d’à peine 5,65 mm. Cadencé à 18'000 alternances/heure, il offre une réserve de marche de 80 heures par remontage couplé à un rotor périphérique. Cette architecture ouverte sur le mouvement à 188 composants permet d’apprécier le niveau de finitions apportées à ce mécanisme de haute horlogerie avec une platine perlée côté cadran et des ponts anglés à la main et décorés Côtes de Genève côté fond. Les roues du train d’engrenage sont cerclées, les vis chanfreinées et polies tandis que la barrette de suspension du tourbillon, avec sa cage en forme de croix de Malte porteuse de la petite seconde indiquée par une vis noircie, est délicatement bercée.

    Questions à Sandrine Donguy, Directeur Produit & Innovation

    Vous évoquez le temps cyclique pour cette série de quatre pièces. Qu’entendez-vous par là ?

    Le Temps Divin de Vacheron Constantin est une thématique qui s’inspire des notions rattachées au concept même du temps et à leurs représentations dans différentes cultures. Par le temps cyclique, il s’agit d’illustrer un temps répétitif et perpétuel. Comme l’alternance des saisons, cette conception du temps est omniprésente dans la culture asiatique où l’alternance des cycles rythme l’organisation sociale. Nos designers se sont inspirés de la symbolique entourant le cycle des saisons dans les cultures asiatiques qui fait appel à des animaux sacrés : tigre, oiseau, tortue et dragon.

    Pourquoi ce choix de la marqueterie sur bois ?

    Il s’agit d’une technique qui donne des résultats époustouflants en horlogerie. La pièce Les Cabinotiers Mécaniques Sauvages Panda lancée en 2018 l’atteste. Cet artisanat permet d’accéder à des compositions riches et subtiles. De loin, le travail se laisse contempler comme un tableau impressionniste. De près, les détails apparaissent : précision de la découpe, justesse des teintes, génie de la composition, harmonie des formes… Inutile de dire que de telles réalisation représentent un travail patient, d’une extrême minutie et d’une grande dextérité. Il faut en effet compter plusieurs semaines, entre 3 et 6 selon la complexité, pour terminer un cadran pouvant compter plusieurs centaines de pièces.

    Pourquoi avoir intégré un tourbillon, au risque de dénaturer de telles compositions ? 

    Les pièces Les Cabinotiers font certes appel aux métiers d’art mais également à toute la science horlogère de la Maison. C’est précisément cette combinaison de génie mécanique et d’arts décoratifs qui les distingue. En termes de complication compatible avec ces pièces, le choix du tourbillon s’est imposé d’emblée, pour le côté « cyclique » de sa cage mobile mais également pour l’animation qu’il apporte en devenant partie intégrante de la composition. Comme le calibre 2160 à remontage automatique est un mouvement ultra-plat, de seulement 5,6mm de hauteur, notamment grâce à son rotor périphérique, nos horlogers ont relevé le défi d’intégrer ce type de régulation dans une montre au cadran d’une grande délicatesse avec toujours ce souci d’élégance propre à la Maison.

  • Les Cabinotiers Le Temps Divin Culture asiatique, saisons et marqueterie de bois

    Embargo levé le 12 novembre 2024, 9AM CET

     • En proposant de remonter aux origines mythologiques du Temps, Vacheron Constantin s’est intéressée à sa dimension cyclique à travers les saisons.

    • Quatre animaux sacrés de la tradition asiatique ont été choisis pour incarner les saisons : le Dragon azur pour le printemps ; l’Oiseau vermillon pour l’été ; le Tigre blanc pour l’automne ; la Tortue noire pour l’hiver.

    • La combinaison des arts décoratifs avec la marqueterie de bois et du génie mécanique avec le calibre 2160 ultra-plat à tourbillon.

    La série Les Cabinotiers Le Temps Divin explore la notion de temps dans ses différentes perceptions culturelles et conceptuelles : tantôt physique et linéaire comme une chronologie ; tantôt astronomique et cyclique comme les saisons ; tantôt métaphysique dans l'étirement infini de l'instant présent. Pour chacune de ces interprétations, Vacheron Constantin propose un voyage vers différents horizons culturels, une odyssée horlogère rythmée par la mécanique du temps et mise en scène par des métiers d'art.

    Pour incarner le temps cyclique, fait d’alternance de phénomènes astronomiques, de déclins et de renaissance, Vacheron Constantin a opté pour la succession des saisons. Chacune d’entre elles est symbolisée par un animal sacré de la culture traditionnelle asiatique, mise en relief par un travail de marqueterie sur bois. Les pièces sont dotées d’un dispositif à tourbillon, actionné par le calibre ultra-plat 2160.

    Le temps cyclique

    L’alternance du jour et de la nuit, des saisons et des lunaisons a très tôt incité les hommes à y chercher une régularité. L’horlogerie est née de ces observations, donnant progressivement au temps une identité scientifique qui n’a cessé de progresser. Du temps cyclique est ainsi né le temps physique, à séquencer et mesurer, puis le temps métaphysique, qui alimente une réflexion plus profonde sur un concept inhérent aux fondements de notre univers. La thématique Le Temps Divin explore ces différentes acceptions du terme, donnant au temps cyclique le visage des saisons tel qu’il apparaît dans les cultures asiatiques en général et chinoise en particulier.

    Ce n’est pas la première fois que Vacheron Constantin s’intéresse au cycle des saisons dans les différentes cultures, comme en attestent les collections Métiers d’Art – Le char d’Apollon les quatre saisons ou encore les Métiers d’Art – La symbolique des laques. La Maison s’est également déjà penchée sur le cycle du zodiaque chinois qui a également inspiré de nombreuses pièces de la Maison au rang desquelles cette montre Mercator signes du zodiaque des années 1990 ou cette horloge de table art déco de 1927.

    Des animaux sacrés pour symboliser les quatre saisons

    Le rythme des saisons et des années revêt une importance hautement symbolique dans les cultures asiatiques, souvent associé à des créatures mythologiques et aux signes du zodiaque. Dans une telle cosmogonie, l’écliptique céleste, cette ligne imaginaire correspondant au déplacement apparent du Soleil observé depuis la Terre, est divisé en quatre sections de sept constellations, chacune étant représentée par son animal sacré : le Dragon azur, symbole de force et de pouvoir pour l’Est et le printemps ; l’Oiseau vermillon, symbole de chance et de prospérité pour le Sud et l’été ; le Tigre blanc, symbole de sérieux et de courage pour l’Ouest et l’automne ; la Tortue noire, symbole de sagesse et de longévité pour le Nord et l’hiver. Ces animaux ont ainsi pris forme sous le geste du marqueteur. En guise d’inspiration, il a notamment pu s’intéresser aux peintures murales du tumulus de Kitora au Japon, un tombeau circulaire datant du 7e siècle, représentant ces animaux mythiques.

    La combinaison d’arts décoratifs et du génie mécanique

    Le travail du marqueteur consiste à utiliser différentes essences de bois aux tonalités variées qu’il découpe, organise, assemble et plaque selon le motif à réaliser. Pour ce faire, il dispose de quelque 150 types de bois couvrant une soixantaine de couleurs naturelles, soit des « feuilles » ou placages de bois conservés à bonnes température et hygrométrie. Pour ces pièces Les Cabinotiers et selon le cadran, 10 à 12 essences ont été sélectionnées : sycomore, padouk, charme, tulipier, myrte bleue, eucalyptus, érable, bois de ronce, chêne, noyer… dont certaines ont été teintés, voire chauffées pour obtenir la bonne coloration.

    Le marqueteur commence par dessiner son motif selon des dimensions quatre fois supérieures à la taille du cadran. Le trait doit être net et précis avant que le dessin soit ramené à ses justes proportions et imprimé en autant de tirages nécessaires à la découpe. Celle ci intervient sur papier-calque pour chacune des pièces constitutives de la marqueterie, en prenant soin de laisser le pourtour dégagé. L’étape suivante, la plus délicate, consiste à appliquer ces calques sur un « mille-feuilles » de bois, soit une superposition d’une dizaine de couches de placage d’une épaisseur de 0,6 mm chacune destinées à être sciées d’un bloc afin d’en faciliter la découpe. L’opération se fait à la scie à chantourner, actionnée au pied par une pédale, le but étant de partager en deux le trait de dessin d’une largeur de l’ordre du dixième de millimètre. Vient enfin l’assemblage, comme un puzzle, des composants délicatement poncés, voire préalablement chauffés ou teintés. A ce stade, ils ne mesurent plus que 0,4mm d’épaisseur et, pour certains, guère davantage en largeur. Le collage se fait sur le support définitif avant ponçage final pour mise à niveau et vernissage.

    Cette précision millimétrique propre à la marqueterie sur bois est d’autant plus complexe qu’elle exige souvent un très grand nombre de pièces constitutives, soit en moyenne plus de 200 minuscules composants issus de 8 à 10 essences différentes pour chacun des cadrans. La réalisation du dragon nécessite par exemple une pièce de bois pour chacune de ses écailles.

    Au total, la réalisation d’un seul cadran demande un mois et demi de travail.

    La finesse du boîtier des quatre modèles tient au calibre 2160 ultra-plat, d’une hauteur d’à peine 5,65 mm. Cadencé à 18'000 alternances/heure, il offre une réserve de marche de 80 heures par remontage couplé à un rotor périphérique. Cette architecture ouverte sur le mouvement à 188 composants permet d’apprécier le niveau de finitions apportées à ce mécanisme de haute horlogerie avec une platine perlée côté cadran et des ponts anglés à la main et décorés Côtes de Genève côté fond. Les roues du train d’engrenage sont cerclées, les vis chanfreinées et polies tandis que la barrette de suspension du tourbillon, avec sa cage en forme de croix de Malte porteuse de la petite seconde indiquée par une vis noircie, est délicatement bercée.

    Questions à Sandrine Donguy, Directeur Produit & Innovation

    Vous évoquez le temps cyclique pour cette série de quatre pièces. Qu’entendez-vous par là ?

    Le Temps Divin de Vacheron Constantin est une thématique qui s’inspire des notions rattachées au concept même du temps et à leurs représentations dans différentes cultures. Par le temps cyclique, il s’agit d’illustrer un temps répétitif et perpétuel. Comme l’alternance des saisons, cette conception du temps est omniprésente dans la culture asiatique où l’alternance des cycles rythme l’organisation sociale. Nos designers se sont inspirés de la symbolique entourant le cycle des saisons dans les cultures asiatiques qui fait appel à des animaux sacrés : tigre, oiseau, tortue et dragon.

    Pourquoi ce choix de la marqueterie sur bois ?

    Il s’agit d’une technique qui donne des résultats époustouflants en horlogerie. La pièce Les Cabinotiers Mécaniques Sauvages Panda lancée en 2018 l’atteste. Cet artisanat permet d’accéder à des compositions riches et subtiles. De loin, le travail se laisse contempler comme un tableau impressionniste. De près, les détails apparaissent : précision de la découpe, justesse des teintes, génie de la composition, harmonie des formes… Inutile de dire que de telles réalisation représentent un travail patient, d’une extrême minutie et d’une grande dextérité. Il faut en effet compter plusieurs semaines, entre 3 et 6 selon la complexité, pour terminer un cadran pouvant compter plusieurs centaines de pièces.

    Pourquoi avoir intégré un tourbillon, au risque de dénaturer de telles compositions ? 

    Les pièces Les Cabinotiers font certes appel aux métiers d’art mais également à toute la science horlogère de la Maison. C’est précisément cette combinaison de génie mécanique et d’arts décoratifs qui les distingue. En termes de complication compatible avec ces pièces, le choix du tourbillon s’est imposé d’emblée, pour le côté « cyclique » de sa cage mobile mais également pour l’animation qu’il apporte en devenant partie intégrante de la composition. Comme le calibre 2160 à remontage automatique est un mouvement ultra-plat, de seulement 5,6mm de hauteur, notamment grâce à son rotor périphérique, nos horlogers ont relevé le défi d’intégrer ce type de régulation dans une montre au cadran d’une grande délicatesse avec toujours ce souci d’élégance propre à la Maison.

  • Marque  : Vacheron Constantin
    Collection  : Cabinotiers
    Modèle  : Tourbillon – Ode to the four Guardians “White Tiger”
    Référence  : 6040C/000R-155C
    Complément : Or Rose - Cadran Anthracite - Bracelet Cuir d’Alligator
    En vente depuis : 2024
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 42 mm
    Epaisseur : 11.40 mm
    Styles : Vintage
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 2160
    Calibre distinction : Poinçon de Genève
    Masse oscillante périphérique en or 916/1000
    Complication : Heures et minutes
    Tourbillon
    Petite seconde sur cage tourbillon (vis de couleur)
    Matière du boîtier : Or rose
    Particularité du boitier : Fond saphir
    Fond transparent
    Forme : Ronde
    Cadran : Marqueterie
    Couleur du cadran : Anthracite
    Matière du bracelet : Cuir d’alligator
    Couleur du bracelet : Brun
    Fermeture du bracelet : Boucle déployante
    Plus de caractéristiques :
    Mouvement
    Calibre 2160
    Développé et manufacturé par Vacheron Constantin
    Mécanique à remontage automatique
    31.00 mm de diamètre, 5.60 mm d’épaisseur
    Réserve de marche du mouvement : environ 80 heures
    2.5 Hz (18'000 alternances/heure)
    188 composants
    30 rubis
    Masse oscillante périphérique en or 916/1000
    Garde-temps certifié du Poinçon de Genève

    Boitier
    Or rose 5N 750/1000

    Cadran
    Cadran en marqueterie de bois (érable moucheté anthracite, érable moucheté teinté blanc, sycomore ondé décoloré, loupe de Madrona décoloré, érable sycomore naturel, amarante, padouk, satiné, charme échauffé, tulipier teinté bleu) représentant le tigre blanc

    Bracelet / Boucles
    Cuir d’alligator Mississippiensis brun avec doublure en cuir d’alligator, cousu main, finition sellier, grandes écailles carrées
    Boucle déployante en or rose 5N 750/1000

    Ecrin & accessoire Modèle Les Cabinotiers

    Pièce unique
    Gravures « Pièce unique », « Les Cabinotiers » et blason « AC » au dos de la montre