{"lien_WSTV":"","tax_name":"deprecated","tax_rate":20,"id_manufacturer":"0","id_supplier":"0","id_category_default":"437","id_shop_default":"1","manufacturer_name":false,"supplier_name":false,"name":"Portugaise Remontage Manuel","description":"<p><strong>Six l\u00e9gendes c\u00e9l\u00e8brent 140 ans d\u2019IWC Schaffhausen <br \/><br \/> IWC Vintage Collection \u2013 Jubilee Edition1868\u20132008<br \/><br \/> La manufacture de Schaffhouse c\u00e9l\u00e8bre son anniversaire avec six montres-bracelets l\u00e9gendaires quiont ponctu\u00e9 son histoire: Portugaise, Ingenieur, Montre d\u2019Aviateur, Da Vinci, Aquatimer, Portofino. Ces mythes de l\u2019horlogerie sont de nouveau disponibles sous forme de s\u00e9duisants mod\u00e8les dans le style Vintage; en guise de f\u00e9licitations et, naturellement aussi, pour la grande joie de tous les amoureux et collectionneurs de la marque. <\/strong><br \/><br \/> Tout a commenc\u00e9 il y a un peu plus de140ans \u00e0 Boston. A Boston, Florentine Ariosto Jones, un horloger dont le talent n\u2019avait d\u2019\u00e9gal que le go\u00fbt de l\u2019entreprise, r\u00e9fl\u00e9chissait \u00e0 une possibilit\u00e9 d\u2019atteindre deux objectifs: d\u2019une part, se mettre \u00e0 son compte, mais aussi, d\u2019autre part, faire bien des choses diff\u00e9remment et mieux que ses coll\u00e8gues de l\u2019industrie horlog\u00e8re am\u00e9ricaine en plein essor. Etant alors directeur de la soci\u00e9t\u00e9 F.HowardWatch&Cie, il avait naturellement d\u00e9j\u00e0 entendu parler de la petite Suisse et de ses excellents horlogers. Et il a \u00e9t\u00e9 \u00e9lectris\u00e9 quand il a su que les salari\u00e9s de l\u2019industrie horlog\u00e8re suisse travaillaient pour des salaires d\u2019une modestie \u00e9tonnante et fabriquaient leurs montres la plupart du temps avec de vieilles machines. La Suisse \u00e9tait alors, ce qui nous semblera peut-\u00eatre stup\u00e9fiant aujourd\u2019hui, un pays \u00e0 bas salaires par excellence. Et c\u2019est ainsi que naquit en F.A.Jones une id\u00e9e commerciale lumineuse: pourquoi ne pas fabriquer en Suisse des montres de qualit\u00e9 pour le march\u00e9 nord-am\u00e9ricain, \u00e0 des conditions beaucoup plus avantageuses et avec des machines neuves et bien meilleures? Aussit\u00f4t dit, aussit\u00f4t fait: \u00e0 New York, Jones fonde avec deux associ\u00e9s un r\u00e9seau de distribution appel\u00e9 \u00e0 habiller d\u2019un bo\u00eetier les mouvements de montres de gousset fabriqu\u00e9s en Suisse et,de l\u00e0,\u00e0 les distribuer dans toute l\u2019Am\u00e9rique du Nord. L\u2019entreprise re\u00e7oit un nom ronflant International Watch Company. Jones, accompagn\u00e9 de son ami l\u2019horloger Louis Kidder, prend alors le bateau pour se rendre en Europe. Les deux comp\u00e8res emm\u00e8nent dans leurs bagages non seulement une multitude d\u2019id\u00e9es, mais aussi des machines pour la fabrication en s\u00e9rie de pi\u00e8ces et quelques plans de construction pr\u00eats \u00e0 \u00eatre utilis\u00e9s pour les premi\u00e8res montres de fabrication suisse. <br \/><br \/> Premi\u00e8re surprise: en Suisse romande avec ses centres de l\u2019horlogerie, o\u00f9 Jones envisage de s\u2019\u00e9tablir, on traite avec condescendance cet amateur d\u2019innovation. En effet, les hommes qui fabriquent en grande partie des pi\u00e8ces de montre \u00e0 domicile craignent les machines modernes et le concept d\u2019une fabrication en s\u00e9rie m\u00eame si celui-ci a l\u2019avantage incontestable d\u2019une qualit\u00e9 toujours identique. <br \/><br \/> L\u2019histoire aurait d\u00e9j\u00e0 pu s\u2019arr\u00eater l\u00e0. Mais, en Suisse romande, Jones fait connaissance d\u2019un industriel schaffhousois polyvalent, Heinrich Moser. Et celui-ci soumet \u00e0 l\u2019Am\u00e9ricain une offre pas tout \u00e0 fait altruiste, mais d\u2019autant plus s\u00e9duisante: \u00e0 Schaffhouse, une petite ville du Nord de la Suisse dont l\u2019Am\u00e9ricain n\u2019a sans doute encore jamais entendu parlerjusque-l\u00e0,il peut se mettre au travail imm\u00e9diatement \u2013 dans des b\u00e2timents industriels appartenant \u00e0 Moser. Cerise sur le g\u00e2teau: il disposera aussi de l\u2019\u00e9nergie n\u00e9cessaire pour actionner les machines\u2013 \u00e0 cette \u00e9poque-l\u00e0, il n\u2019\u00e9tait pas encore question de courant \u00e9lectrique. Une usine hydraulique construite par Moser lui-m\u00eame fournit l\u2019\u00e9nergie indispensable directement \u00e0 la fabrique par le biais d\u2019arbres et de longs c\u00e2bles de transmission. C\u2019est ainsi que Jones vient \u00e0 Schaffhouse en1868 \u2013 et que Schaffhouse, loin de la Suisse romande, h\u00e9berge soudain une fabrique de montres. <br \/><br \/> Jones peut donc r\u00e9ellement transposer dans la pratique son id\u00e9e hardie. De m\u00eame, son principe consistant \u00e0 fabriquer des montres de grandequalit\u00e9 \u00e0 des tol\u00e9rances toujours identiques fonctionne \u2013 et justifie la r\u00e9putation des montres de Schaffhouse, une r\u00e9putation qui se perp\u00e9tue jusqu\u2019\u00e0 aujourd\u2019hui dans le monde entier. Mais l\u2019aventure qui a commenc\u00e9 de fa\u00e7on tr\u00e8s prometteuse, sur le plan horloger, avec les premiers \u00abcalibres Jones\u00bb, du nom du fondateur de la firme, prend une vraiment mauvaise tournure, sur le plan commercial, pour Jones lorsque l\u2019Am\u00e9rique \u2013 contrairement \u00e0 sa promesse \u2013 ne diminue pas les droits de douane, d\u2019un taux de 25 pour cent, \u00e9dict\u00e9s \u00e0 cause de la guerre en 1864. L\u2019avantage des plus faibles salaires suisses est donc r\u00e9duit \u00e0 n\u00e9ant. Jones rentre \u00e0 Boston et la \u00abfabrique de montres am\u00e9ricaine\u00bb est reprise par des Suisses. Mais le fondateur laisse aux repreneurs cette ambition particuli\u00e8re de solutions techniques raffin\u00e9es et toujours sup\u00e9rieures. C\u2019est ainsi que, par la suite, malgr\u00e9 les difficult\u00e9s de ses d\u00e9buts, la manufacture se d\u00e9veloppe au point de devenir l\u2019un des fabricants les plus renomm\u00e9s de montres de gousset solides et d\u2019une grande long\u00e9vit\u00e9. <br \/><br \/> Et elle est aussi, d\u00e8s le d\u00e9but, l\u2019un des protagonistes les plus actifs de la r\u00e9volution horlog\u00e8re qui favorisait, vers les ann\u00e9es1900 d\u00e9j\u00e0, la pr\u00e9\u00e9minence de la montre-bracelet. Mais la guerre de religion sur le port de la montre ne se termine r\u00e9ellement que dans les ann\u00e9es Trente ou Quarante. Et c\u2019est justement au moment o\u00f9 commence cette p\u00e9riode de nouveaux bouleversements techniques que naissent quelques-unes des montres d\u2019IWC les plus passionnantes et les plus convoit\u00e9es des collectionneurs aujourd\u2019hui encore. Certaines ont \u00e9crit des chapitres de l\u2019histoire de l\u2019horlogerie. <br \/><br \/> Six montres \u2013 six l\u00e9gendes de la fondation des familles de montres IWC d\u2019aujourd\u2019hui Six de ces pierres milliaires ont \u00e9t\u00e9 ramen\u00e9es dans le pr\u00e9sent en tant que nouveaux mod\u00e8les Vintage illustrant la fi\u00e8re histoire de la firme pour le140\u00e8me anniversaire de la manufacture \u2013 m\u00eame si ce chiffre n\u2019est pas un chiffre tout \u00e0 fait rond. Il ne s\u2019agit pas de copies, il n\u2019y en a jamais eu chez IWC, mais de r\u00e9interpr\u00e9tations de bonnes vieilles connaissances, parfois \u00e9quip\u00e9es de mouvements de manufacture automatiques ultramodernes et contemporains que l\u2019on trouve aussi dans des mod\u00e8les de s\u00e9rie actuels. <br \/><br \/> Quand la fid\u00e9lit\u00e9 historique l\u2019exige, ces mod\u00e8les sont \u00e9quip\u00e9s de mouvements de montres de gousset \u00e0 remontage m\u00e9canique qui reprennent le calibre IWC98,le plus c\u00e9l\u00e8bre et le plus longtemps construit, ceux-ci s\u2019\u00e9tant toutefois enrichis et ayant \u00e9t\u00e9 compl\u00e9t\u00e9s par quelques \u00e9l\u00e9ments des tout premiers mouvements de Jones. Et certains des mod\u00e8les de l\u2019actuelle collection Vintage \u2013 pour autant que leurs anc\u00eatres n\u2019\u00e9taient pas d\u00e9j\u00e0 pr\u00e9sent\u00e9s \u00e0 cette \u00e9poque au format maxi d\u2019IWC \u2013 ont, lors de leur voyage dans le temps jusqu\u2019au pr\u00e9sent, aussi vu grandir la taille de leurs bo\u00eetiers, ce qui permet de les distinguer au premier coup d\u2019\u0153il des originaux. De cette mani\u00e8re, ils se transforment toutefois aussi en des personnalit\u00e9s de l\u2019horlogerie absolument nouvelles. Ils indiquent par exemple \u00e0 quoi aurait ressembl\u00e9 une Ingenieur de1955 si son bo\u00eetier port\u00e9 au poignet n\u2019avait pas eu un diam\u00e8tre de 37,5, mais de 42,5mm. <br \/><br \/> Les six montres, qui sont respectivement propos\u00e9es en \u00e9dition illimit\u00e9e en acier inoxydable avec cadran noir et en \u00e9dition limit\u00e9e en platine avec cadran argent\u00e9, sont toutefois plus qu\u2019un simple \u00abbest of\u00bb de l\u2019\u00e8re de la montre-bracelet chez IWC.Elles incarnent\u2013chacune d\u2019entre elles prise isol\u00e9ment \u2013 pratiquement la l\u00e9gende de la fondation des familles de montres de la manufacture qui existent aujourd\u2019hui. Les 140 premi\u00e8res montres Vintage en platine sont malgr\u00e9 tout en quelque sorte d\u00e9j\u00e0 r\u00e9serv\u00e9es: elles sont propos\u00e9es en offre particuli\u00e8re,toutes avec le m\u00eame num\u00e9ro, en tant que s\u00e9rie absolument unique, dans une valise en cuir r\u00e9alis\u00e9e avec une grande minutie.<br \/><br \/><strong>Portugaise Remontage Manuel <\/strong><br \/><br \/>La Portugaise de 1939 est une v\u00e9ritable l\u00e9gende parmi les montres. Et, sur le plan esth\u00e9tique, en quelque sorte la plus proche possible de l\u2019id\u00e9al de perfection en mati\u00e8re de design de montre. En tant que premi\u00e8re \u00abmontre de gousset-bra-celet\u00bb, elle a \u00e9tabli le format g\u00e9ant au poignet, aujourd\u2019hui tr\u00e8s largement r\u00e9pandu. Et c\u2019est aussi elle qui a rompu, pour la premi\u00e8re fois, le tabou consistant \u00e0 porter au bras un authentique mouvement de montre de gousset. Avec succ\u00e8s et, d\u2019ailleurs, chez IWC, jusqu\u2019\u00e0 aujourd\u2019hui. Elle a ainsi cr\u00e9\u00e9 une cat\u00e9gorie de montres absolument in\u00e9dite.Il est donc incontestable que,en tant que fondatrice d\u2019une admirable famille de montres IWC, la Portugaise figure parmi les t\u00e9moins essentiels de la fi\u00e8re histoire de la soci\u00e9t\u00e9. Elle doit ce nom, apparu \u00e0 la fin des ann\u00e9es Trente du si\u00e8cle dernier, \u00e0 deux n\u00e9gociants portugais qui avaient exig\u00e9 qu\u2019elle ait exactement cet aspect et cescaract\u00e9ristiques.Ils souhaitaient une montre d\u2019une pr\u00e9cision extr\u00eame qui rappellerait leur prestigieuse tradition de nation de navigateurs. La \u00abPortugaise\u00bb qui n\u2019a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9e ainsi que quelques ann\u00e9es plus tard, \u00e9tait con\u00e7ue, d\u2019embl\u00e9e, avec toutes ses fonctionnalit\u00e9s, comme montre d\u2019observation inofficielle et, donc, comme instrument de navigation. Pour la Portugaise Remontage Manuel, nous avons choisi parmi les nombreux cadrans utilis\u00e9s pour les Portugaises originelles celui qui est, sur le plan esth\u00e9tique, assur\u00e9ment le plus int\u00e9ressant et qui n\u2019a encore jamais \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9 pour les Portugaises des temps modernes: des chiffres arabes et des indices b\u00e2ton se succ\u00e8dent, la plage de mesure proprement dite \u00e9tant s\u00e9par\u00e9e vis-\u00e0-vis du centre du cadran par un autre cercle et la minuterie \u00e9tant ex\u00e9cut\u00e9e dans la forme \u00abchemin de fer\u00bb tr\u00e8s populaire \u00e0 cette \u00e9poque. Les m\u00eames \u00e9l\u00e9ments graphiques r\u00e9apparaissent \u00e9galement dans le cercle de l\u2019affichage des secondes. La forme du bo\u00eetier (44mm) avec la lunette creus\u00e9e et les cornes de bracelet l\u00e9g\u00e8rement galb\u00e9s vers le bas correspondent \u00e0 l\u2019original. A la diff\u00e9rence de celui-ci \u2013 et aussi du mod\u00e8le anniversaire de 1993 - la nouvelle Portugaise Vintage comporte au-dessus du cadran un verre saphir antireflets \u00e9vid\u00e9. Elle est mue par le calibre 98295, qui est presque identique au mouvement de la Montre d\u2019Aviateur Vintage: remontage manuel, fr\u00e9quence de balancier de 2,5Hz, grand balancier \u00e0 vis, spiral Breguet, platine trois-quarts en argentan nickel\u00e9, ponts perl\u00e9s et d\u00e9cor\u00e9s de c\u00f4tes de Gen\u00e8ve. Ici aussi, la queue de raquette surdimensionn\u00e9e, la fameuse \u00abfl\u00e8che Jones\u00bb, qui va du pont de balancier \u00e0 la platine, rappelle le fondateur de la soci\u00e9t\u00e9, Florentine Ariosto Jones, qui a cr\u00e9\u00e9 la manufacture sur les bords du Rhin, il y a140ans, et l\u2019a accompagn\u00e9e lors de ses premi\u00e8res ann\u00e9es.<\/p>","description_short":"","quantity":0,"minimal_quantity":"1","available_now":"","available_later":"","price":6875,"specificPrice":false,"additional_shipping_cost":"0.00","wholesale_price":"0.000000","on_sale":"0","online_only":"0","unity":"","unit_price":0,"unit_price_ratio":"0.000000","ecotax":"0.000000","reference":"IW544501","supplier_reference":"","location":"","width":"0.000000","height":"0.000000","depth":"0.000000","weight":"0.000000","ean13":"","upc":"","link_rewrite":"portugaise-remontage-manuel","meta_description":"Six l\u00e9gendes c\u00e9l\u00e8brent 140 ans d\u2019IWC Schaffhausen IWC Vintage Collection \u2013 Jubilee Edition1868\u20132008 La manufacture de Schaffhouse c\u00e9l\u00e8bre son anniversaire av...","meta_keywords":"","meta_title":"IWC Portugaise Remontage Manuel | IWC Vintage Collection - Edition Jubil\u00e9 IW544501 Acier - Bracelet Croco","quantity_discount":"0","customizable":"0","new":false,"uploadable_files":"0","text_fields":"0","active":"1","redirect_type":"404","id_product_redirected":"0","available_for_order":"0","available_date":"0000-00-00","condition":"new","show_price":"1","indexed":"1","visibility":"both","date_add":"2015-08-03 22:47:21","date_upd":"2021-01-27 14:55:51","tags":false,"base_price":"6875.000000","id_tax_rules_group":"1","id_color_default":0,"advanced_stock_management":"0","out_of_stock":0,"depends_on_stock":false,"isFullyLoaded":true,"cache_is_pack":"0","cache_has_attachments":"1","is_virtual":"0","id_pack_product_attribute":null,"cache_default_attribute":"0","category":"iwc-vintage-collection-edition-jubile","pack_stock_type":"3","id":2279,"id_shop_list":null,"force_id":false,"customization_required":false}
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IW544501
Marque : | IWC |
Collection : | IWC Vintage Collection - Edition Jubilé |
Modèle : | Portugaise Remontage Manuel |
Référence : | IW544501 |
Complément : | Acier - Bracelet Croco |
Année : | 2009 |
N'est plus commercialisé |
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Marque : | IWC |
Collection : | IWC Vintage Collection - Edition Jubilé |
Modèle : | Portugaise Remontage Manuel |
Référence : | IW544501 |
Complément : | Acier - Bracelet Croco |
Année : | 2009 |
N'est plus commercialisé | |
Prix du neuf : | 8 250 € |
Diamètre : | 44 mm |
Epaisseur : | 10 mm |
Styles : | Vintage |
Types : | Mécanique à remontage manuel |
Calibre : | 98295 |
Complication : | Petite Seconde |
Matière du boîtier : | Acier |
Particularité du boitier : | Fond saphir |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 30 mètres |
Couleur du cadran : | Noir |
Affichage : | Aiguilles Feuille |
Index : | Bâtons Chemin de fer Chiffres arabes |
Verre : | Saphir Traitement anti-reflet |
Matière du bracelet : | Croco |
Couleur du bracelet : | Noir |
+ Plus de caractéristiques : | Mouvement 18 rubis Fréquence : 18 000 alternances / heures (2.5Hz) Réserve de marche : 46 heures Hommage à la première Portugaise d’IWC de1939. mouvement de montre de gousset avec remontage manuel. variante en platine limitée à 500 exemplaires |
Six légendes célèbrent 140 ans d’IWC Schaffhausen
IWC Vintage Collection – Jubilee Edition1868–2008
La manufacture de Schaffhouse célèbre son anniversaire avec six montres-bracelets légendaires quiont ponctué son histoire: Portugaise, Ingenieur, Montre d’Aviateur, Da Vinci, Aquatimer, Portofino. Ces mythes de l’horlogerie sont de nouveau disponibles sous forme de séduisants modèles dans le style Vintage; en guise de félicitations et, naturellement aussi, pour la grande joie de tous les amoureux et collectionneurs de la marque.
Tout a commencé il y a un peu plus de140ans à Boston. A Boston, Florentine Ariosto Jones, un horloger dont le talent n’avait d’égal que le goût de l’entreprise, réfléchissait à une possibilité d’atteindre deux objectifs: d’une part, se mettre à son compte, mais aussi, d’autre part, faire bien des choses différemment et mieux que ses collègues de l’industrie horlogère américaine en plein essor. Etant alors directeur de la société F.HowardWatch&Cie, il avait naturellement déjà entendu parler de la petite Suisse et de ses excellents horlogers. Et il a été électrisé quand il a su que les salariés de l’industrie horlogère suisse travaillaient pour des salaires d’une modestie étonnante et fabriquaient leurs montres la plupart du temps avec de vieilles machines. La Suisse était alors, ce qui nous semblera peut-être stupéfiant aujourd’hui, un pays à bas salaires par excellence. Et c’est ainsi que naquit en F.A.Jones une idée commerciale lumineuse: pourquoi ne pas fabriquer en Suisse des montres de qualité pour le marché nord-américain, à des conditions beaucoup plus avantageuses et avec des machines neuves et bien meilleures? Aussitôt dit, aussitôt fait: à New York, Jones fonde avec deux associés un réseau de distribution appelé à habiller d’un boîtier les mouvements de montres de gousset fabriqués en Suisse et,de là,à les distribuer dans toute l’Amérique du Nord. L’entreprise reçoit un nom ronflant International Watch Company. Jones, accompagné de son ami l’horloger Louis Kidder, prend alors le bateau pour se rendre en Europe. Les deux compères emmènent dans leurs bagages non seulement une multitude d’idées, mais aussi des machines pour la fabrication en série de pièces et quelques plans de construction prêts à être utilisés pour les premières montres de fabrication suisse.
Première surprise: en Suisse romande avec ses centres de l’horlogerie, où Jones envisage de s’établir, on traite avec condescendance cet amateur d’innovation. En effet, les hommes qui fabriquent en grande partie des pièces de montre à domicile craignent les machines modernes et le concept d’une fabrication en série même si celui-ci a l’avantage incontestable d’une qualité toujours identique.
L’histoire aurait déjà pu s’arrêter là. Mais, en Suisse romande, Jones fait connaissance d’un industriel schaffhousois polyvalent, Heinrich Moser. Et celui-ci soumet à l’Américain une offre pas tout à fait altruiste, mais d’autant plus séduisante: à Schaffhouse, une petite ville du Nord de la Suisse dont l’Américain n’a sans doute encore jamais entendu parlerjusque-là,il peut se mettre au travail immédiatement – dans des bâtiments industriels appartenant à Moser. Cerise sur le gâteau: il disposera aussi de l’énergie nécessaire pour actionner les machines– à cette époque-là, il n’était pas encore question de courant électrique. Une usine hydraulique construite par Moser lui-même fournit l’énergie indispensable directement à la fabrique par le biais d’arbres et de longs câbles de transmission. C’est ainsi que Jones vient à Schaffhouse en1868 – et que Schaffhouse, loin de la Suisse romande, héberge soudain une fabrique de montres.
Jones peut donc réellement transposer dans la pratique son idée hardie. De même, son principe consistant à fabriquer des montres de grandequalité à des tolérances toujours identiques fonctionne – et justifie la réputation des montres de Schaffhouse, une réputation qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui dans le monde entier. Mais l’aventure qui a commencé de façon très prometteuse, sur le plan horloger, avec les premiers «calibres Jones», du nom du fondateur de la firme, prend une vraiment mauvaise tournure, sur le plan commercial, pour Jones lorsque l’Amérique – contrairement à sa promesse – ne diminue pas les droits de douane, d’un taux de 25 pour cent, édictés à cause de la guerre en 1864. L’avantage des plus faibles salaires suisses est donc réduit à néant. Jones rentre à Boston et la «fabrique de montres américaine» est reprise par des Suisses. Mais le fondateur laisse aux repreneurs cette ambition particulière de solutions techniques raffinées et toujours supérieures. C’est ainsi que, par la suite, malgré les difficultés de ses débuts, la manufacture se développe au point de devenir l’un des fabricants les plus renommés de montres de gousset solides et d’une grande longévité.
Et elle est aussi, dès le début, l’un des protagonistes les plus actifs de la révolution horlogère qui favorisait, vers les années1900 déjà, la prééminence de la montre-bracelet. Mais la guerre de religion sur le port de la montre ne se termine réellement que dans les années Trente ou Quarante. Et c’est justement au moment où commence cette période de nouveaux bouleversements techniques que naissent quelques-unes des montres d’IWC les plus passionnantes et les plus convoitées des collectionneurs aujourd’hui encore. Certaines ont écrit des chapitres de l’histoire de l’horlogerie.
Six montres – six légendes de la fondation des familles de montres IWC d’aujourd’hui Six de ces pierres milliaires ont été ramenées dans le présent en tant que nouveaux modèles Vintage illustrant la fière histoire de la firme pour le140ème anniversaire de la manufacture – même si ce chiffre n’est pas un chiffre tout à fait rond. Il ne s’agit pas de copies, il n’y en a jamais eu chez IWC, mais de réinterprétations de bonnes vieilles connaissances, parfois équipées de mouvements de manufacture automatiques ultramodernes et contemporains que l’on trouve aussi dans des modèles de série actuels.
Quand la fidélité historique l’exige, ces modèles sont équipés de mouvements de montres de gousset à remontage mécanique qui reprennent le calibre IWC98,le plus célèbre et le plus longtemps construit, ceux-ci s’étant toutefois enrichis et ayant été complétés par quelques éléments des tout premiers mouvements de Jones. Et certains des modèles de l’actuelle collection Vintage – pour autant que leurs ancêtres n’étaient pas déjà présentés à cette époque au format maxi d’IWC – ont, lors de leur voyage dans le temps jusqu’au présent, aussi vu grandir la taille de leurs boîtiers, ce qui permet de les distinguer au premier coup d’œil des originaux. De cette manière, ils se transforment toutefois aussi en des personnalités de l’horlogerie absolument nouvelles. Ils indiquent par exemple à quoi aurait ressemblé une Ingenieur de1955 si son boîtier porté au poignet n’avait pas eu un diamètre de 37,5, mais de 42,5mm.
Les six montres, qui sont respectivement proposées en édition illimitée en acier inoxydable avec cadran noir et en édition limitée en platine avec cadran argenté, sont toutefois plus qu’un simple «best of» de l’ère de la montre-bracelet chez IWC.Elles incarnent–chacune d’entre elles prise isolément – pratiquement la légende de la fondation des familles de montres de la manufacture qui existent aujourd’hui. Les 140 premières montres Vintage en platine sont malgré tout en quelque sorte déjà réservées: elles sont proposées en offre particulière,toutes avec le même numéro, en tant que série absolument unique, dans une valise en cuir réalisée avec une grande minutie.
Portugaise Remontage Manuel
La Portugaise de 1939 est une véritable légende parmi les montres. Et, sur le plan esthétique, en quelque sorte la plus proche possible de l’idéal de perfection en matière de design de montre. En tant que première «montre de gousset-bra-celet», elle a établi le format géant au poignet, aujourd’hui très largement répandu. Et c’est aussi elle qui a rompu, pour la première fois, le tabou consistant à porter au bras un authentique mouvement de montre de gousset. Avec succès et, d’ailleurs, chez IWC, jusqu’à aujourd’hui. Elle a ainsi créé une catégorie de montres absolument inédite.Il est donc incontestable que,en tant que fondatrice d’une admirable famille de montres IWC, la Portugaise figure parmi les témoins essentiels de la fière histoire de la société. Elle doit ce nom, apparu à la fin des années Trente du siècle dernier, à deux négociants portugais qui avaient exigé qu’elle ait exactement cet aspect et cescaractéristiques.Ils souhaitaient une montre d’une précision extrême qui rappellerait leur prestigieuse tradition de nation de navigateurs. La «Portugaise» qui n’a été nommée ainsi que quelques années plus tard, était conçue, d’emblée, avec toutes ses fonctionnalités, comme montre d’observation inofficielle et, donc, comme instrument de navigation. Pour la Portugaise Remontage Manuel, nous avons choisi parmi les nombreux cadrans utilisés pour les Portugaises originelles celui qui est, sur le plan esthétique, assurément le plus intéressant et qui n’a encore jamais été utilisé pour les Portugaises des temps modernes: des chiffres arabes et des indices bâton se succèdent, la plage de mesure proprement dite étant séparée vis-à-vis du centre du cadran par un autre cercle et la minuterie étant exécutée dans la forme «chemin de fer» très populaire à cette époque. Les mêmes éléments graphiques réapparaissent également dans le cercle de l’affichage des secondes. La forme du boîtier (44mm) avec la lunette creusée et les cornes de bracelet légèrement galbés vers le bas correspondent à l’original. A la différence de celui-ci – et aussi du modèle anniversaire de 1993 - la nouvelle Portugaise Vintage comporte au-dessus du cadran un verre saphir antireflets évidé. Elle est mue par le calibre 98295, qui est presque identique au mouvement de la Montre d’Aviateur Vintage: remontage manuel, fréquence de balancier de 2,5Hz, grand balancier à vis, spiral Breguet, platine trois-quarts en argentan nickelé, ponts perlés et décorés de côtes de Genève. Ici aussi, la queue de raquette surdimensionnée, la fameuse «flèche Jones», qui va du pont de balancier à la platine, rappelle le fondateur de la société, Florentine Ariosto Jones, qui a créé la manufacture sur les bords du Rhin, il y a140ans, et l’a accompagnée lors de ses premières années.
Six légendes célèbrent 140 ans d’IWC Schaffhausen
IWC Vintage Collection – Jubilee Edition1868–2008
La manufacture de Schaffhouse célèbre son anniversaire avec six montres-bracelets légendaires quiont ponctué son histoire: Portugaise, Ingenieur, Montre d’Aviateur, Da Vinci, Aquatimer, Portofino. Ces mythes de l’horlogerie sont de nouveau disponibles sous forme de séduisants modèles dans le style Vintage; en guise de félicitations et, naturellement aussi, pour la grande joie de tous les amoureux et collectionneurs de la marque.
Tout a commencé il y a un peu plus de140ans à Boston. A Boston, Florentine Ariosto Jones, un horloger dont le talent n’avait d’égal que le goût de l’entreprise, réfléchissait à une possibilité d’atteindre deux objectifs: d’une part, se mettre à son compte, mais aussi, d’autre part, faire bien des choses différemment et mieux que ses collègues de l’industrie horlogère américaine en plein essor. Etant alors directeur de la société F.HowardWatch&Cie, il avait naturellement déjà entendu parler de la petite Suisse et de ses excellents horlogers. Et il a été électrisé quand il a su que les salariés de l’industrie horlogère suisse travaillaient pour des salaires d’une modestie étonnante et fabriquaient leurs montres la plupart du temps avec de vieilles machines. La Suisse était alors, ce qui nous semblera peut-être stupéfiant aujourd’hui, un pays à bas salaires par excellence. Et c’est ainsi que naquit en F.A.Jones une idée commerciale lumineuse: pourquoi ne pas fabriquer en Suisse des montres de qualité pour le marché nord-américain, à des conditions beaucoup plus avantageuses et avec des machines neuves et bien meilleures? Aussitôt dit, aussitôt fait: à New York, Jones fonde avec deux associés un réseau de distribution appelé à habiller d’un boîtier les mouvements de montres de gousset fabriqués en Suisse et,de là,à les distribuer dans toute l’Amérique du Nord. L’entreprise reçoit un nom ronflant International Watch Company. Jones, accompagné de son ami l’horloger Louis Kidder, prend alors le bateau pour se rendre en Europe. Les deux compères emmènent dans leurs bagages non seulement une multitude d’idées, mais aussi des machines pour la fabrication en série de pièces et quelques plans de construction prêts à être utilisés pour les premières montres de fabrication suisse.
Première surprise: en Suisse romande avec ses centres de l’horlogerie, où Jones envisage de s’établir, on traite avec condescendance cet amateur d’innovation. En effet, les hommes qui fabriquent en grande partie des pièces de montre à domicile craignent les machines modernes et le concept d’une fabrication en série même si celui-ci a l’avantage incontestable d’une qualité toujours identique.
L’histoire aurait déjà pu s’arrêter là. Mais, en Suisse romande, Jones fait connaissance d’un industriel schaffhousois polyvalent, Heinrich Moser. Et celui-ci soumet à l’Américain une offre pas tout à fait altruiste, mais d’autant plus séduisante: à Schaffhouse, une petite ville du Nord de la Suisse dont l’Américain n’a sans doute encore jamais entendu parlerjusque-là,il peut se mettre au travail immédiatement – dans des bâtiments industriels appartenant à Moser. Cerise sur le gâteau: il disposera aussi de l’énergie nécessaire pour actionner les machines– à cette époque-là, il n’était pas encore question de courant électrique. Une usine hydraulique construite par Moser lui-même fournit l’énergie indispensable directement à la fabrique par le biais d’arbres et de longs câbles de transmission. C’est ainsi que Jones vient à Schaffhouse en1868 – et que Schaffhouse, loin de la Suisse romande, héberge soudain une fabrique de montres.
Jones peut donc réellement transposer dans la pratique son idée hardie. De même, son principe consistant à fabriquer des montres de grandequalité à des tolérances toujours identiques fonctionne – et justifie la réputation des montres de Schaffhouse, une réputation qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui dans le monde entier. Mais l’aventure qui a commencé de façon très prometteuse, sur le plan horloger, avec les premiers «calibres Jones», du nom du fondateur de la firme, prend une vraiment mauvaise tournure, sur le plan commercial, pour Jones lorsque l’Amérique – contrairement à sa promesse – ne diminue pas les droits de douane, d’un taux de 25 pour cent, édictés à cause de la guerre en 1864. L’avantage des plus faibles salaires suisses est donc réduit à néant. Jones rentre à Boston et la «fabrique de montres américaine» est reprise par des Suisses. Mais le fondateur laisse aux repreneurs cette ambition particulière de solutions techniques raffinées et toujours supérieures. C’est ainsi que, par la suite, malgré les difficultés de ses débuts, la manufacture se développe au point de devenir l’un des fabricants les plus renommés de montres de gousset solides et d’une grande longévité.
Et elle est aussi, dès le début, l’un des protagonistes les plus actifs de la révolution horlogère qui favorisait, vers les années1900 déjà, la prééminence de la montre-bracelet. Mais la guerre de religion sur le port de la montre ne se termine réellement que dans les années Trente ou Quarante. Et c’est justement au moment où commence cette période de nouveaux bouleversements techniques que naissent quelques-unes des montres d’IWC les plus passionnantes et les plus convoitées des collectionneurs aujourd’hui encore. Certaines ont écrit des chapitres de l’histoire de l’horlogerie.
Six montres – six légendes de la fondation des familles de montres IWC d’aujourd’hui Six de ces pierres milliaires ont été ramenées dans le présent en tant que nouveaux modèles Vintage illustrant la fière histoire de la firme pour le140ème anniversaire de la manufacture – même si ce chiffre n’est pas un chiffre tout à fait rond. Il ne s’agit pas de copies, il n’y en a jamais eu chez IWC, mais de réinterprétations de bonnes vieilles connaissances, parfois équipées de mouvements de manufacture automatiques ultramodernes et contemporains que l’on trouve aussi dans des modèles de série actuels.
Quand la fidélité historique l’exige, ces modèles sont équipés de mouvements de montres de gousset à remontage mécanique qui reprennent le calibre IWC98,le plus célèbre et le plus longtemps construit, ceux-ci s’étant toutefois enrichis et ayant été complétés par quelques éléments des tout premiers mouvements de Jones. Et certains des modèles de l’actuelle collection Vintage – pour autant que leurs ancêtres n’étaient pas déjà présentés à cette époque au format maxi d’IWC – ont, lors de leur voyage dans le temps jusqu’au présent, aussi vu grandir la taille de leurs boîtiers, ce qui permet de les distinguer au premier coup d’œil des originaux. De cette manière, ils se transforment toutefois aussi en des personnalités de l’horlogerie absolument nouvelles. Ils indiquent par exemple à quoi aurait ressemblé une Ingenieur de1955 si son boîtier porté au poignet n’avait pas eu un diamètre de 37,5, mais de 42,5mm.
Les six montres, qui sont respectivement proposées en édition illimitée en acier inoxydable avec cadran noir et en édition limitée en platine avec cadran argenté, sont toutefois plus qu’un simple «best of» de l’ère de la montre-bracelet chez IWC.Elles incarnent–chacune d’entre elles prise isolément – pratiquement la légende de la fondation des familles de montres de la manufacture qui existent aujourd’hui. Les 140 premières montres Vintage en platine sont malgré tout en quelque sorte déjà réservées: elles sont proposées en offre particulière,toutes avec le même numéro, en tant que série absolument unique, dans une valise en cuir réalisée avec une grande minutie.
Portugaise Remontage Manuel
La Portugaise de 1939 est une véritable légende parmi les montres. Et, sur le plan esthétique, en quelque sorte la plus proche possible de l’idéal de perfection en matière de design de montre. En tant que première «montre de gousset-bra-celet», elle a établi le format géant au poignet, aujourd’hui très largement répandu. Et c’est aussi elle qui a rompu, pour la première fois, le tabou consistant à porter au bras un authentique mouvement de montre de gousset. Avec succès et, d’ailleurs, chez IWC, jusqu’à aujourd’hui. Elle a ainsi créé une catégorie de montres absolument inédite.Il est donc incontestable que,en tant que fondatrice d’une admirable famille de montres IWC, la Portugaise figure parmi les témoins essentiels de la fière histoire de la société. Elle doit ce nom, apparu à la fin des années Trente du siècle dernier, à deux négociants portugais qui avaient exigé qu’elle ait exactement cet aspect et cescaractéristiques.Ils souhaitaient une montre d’une précision extrême qui rappellerait leur prestigieuse tradition de nation de navigateurs. La «Portugaise» qui n’a été nommée ainsi que quelques années plus tard, était conçue, d’emblée, avec toutes ses fonctionnalités, comme montre d’observation inofficielle et, donc, comme instrument de navigation. Pour la Portugaise Remontage Manuel, nous avons choisi parmi les nombreux cadrans utilisés pour les Portugaises originelles celui qui est, sur le plan esthétique, assurément le plus intéressant et qui n’a encore jamais été utilisé pour les Portugaises des temps modernes: des chiffres arabes et des indices bâton se succèdent, la plage de mesure proprement dite étant séparée vis-à-vis du centre du cadran par un autre cercle et la minuterie étant exécutée dans la forme «chemin de fer» très populaire à cette époque. Les mêmes éléments graphiques réapparaissent également dans le cercle de l’affichage des secondes. La forme du boîtier (44mm) avec la lunette creusée et les cornes de bracelet légèrement galbés vers le bas correspondent à l’original. A la différence de celui-ci – et aussi du modèle anniversaire de 1993 - la nouvelle Portugaise Vintage comporte au-dessus du cadran un verre saphir antireflets évidé. Elle est mue par le calibre 98295, qui est presque identique au mouvement de la Montre d’Aviateur Vintage: remontage manuel, fréquence de balancier de 2,5Hz, grand balancier à vis, spiral Breguet, platine trois-quarts en argentan nickelé, ponts perlés et décorés de côtes de Genève. Ici aussi, la queue de raquette surdimensionnée, la fameuse «flèche Jones», qui va du pont de balancier à la platine, rappelle le fondateur de la société, Florentine Ariosto Jones, qui a créé la manufacture sur les bords du Rhin, il y a140ans, et l’a accompagnée lors de ses premières années.
Marque : | IWC |
Collection : | IWC Vintage Collection - Edition Jubilé |
Modèle : | Portugaise Remontage Manuel |
Référence : | IW544501 |
Complément : | Acier - Bracelet Croco |
Année : | 2009 |
N'est plus commercialisé | |
Prix du neuf : | 8 250 € |
Diamètre : | 44 mm |
Epaisseur : | 10 mm |
Styles : | Vintage |
Types : | Mécanique à remontage manuel |
Calibre : | 98295 |
Complication : | Petite Seconde |
Matière du boîtier : | Acier |
Particularité du boitier : | Fond saphir |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 30 mètres |
Couleur du cadran : | Noir |
Affichage : | Aiguilles Feuille |
Index : | Bâtons Chemin de fer Chiffres arabes |
Verre : | Saphir Traitement anti-reflet |
Matière du bracelet : | Croco |
Couleur du bracelet : | Noir |
Plus de caractéristiques : | Mouvement 18 rubis Fréquence : 18 000 alternances / heures (2.5Hz) Réserve de marche : 46 heures Hommage à la première Portugaise d’IWC de1939. mouvement de montre de gousset avec remontage manuel. variante en platine limitée à 500 exemplaires |