Q5012550
Marque : | Jaeger-LeCoultre |
Collection : | Master Grande Tradition |
Modèle : | Master Grande Tradition à Répétition Minutes |
Référence : | Q5012550 |
Complément : | Or Rose - Bracelet Alligator |
Année : | 2012 |
N'est plus commercialisé |
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Marque : | Jaeger-LeCoultre |
Collection : | Master Grande Tradition |
Modèle : | Master Grande Tradition à Répétition Minutes |
Référence : | Q5012550 |
Complément : | Or Rose - Bracelet Alligator |
Année : | 2012 |
N'est plus commercialisé | |
Prix du neuf : | 190 000 € |
Diamètre : | 44 mm |
Styles : | Atypique |
Types : | Mécanique à remontage manuel |
Calibre : | Jaeger-LeCoultre 947 |
Calibre distinction : | Décoré main Fabriqué main Assemblé main |
Complication : | Indicateur de Réserve de Marche Répétition Minutes |
Matière du boîtier : | Or rose |
Particularité du boitier : | Gâchette pour actionner la répétition minutes Couronne pour le remontage de la montre le réglage des heures et des minutes |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 50 mètres |
Cadran : | Squelette |
Couleur du cadran : | Doré |
Affichage : | Aiguilles Dauphines |
Index : | Triangles Chiffres arabes Appliques rhodiées |
Verre : | Saphir |
Matière du bracelet : | Alligator |
Couleur du bracelet : | Chocolat |
Fermeture du bracelet : | Boucle ardillon |
+ Plus de caractéristiques : | Mouvement 43 rubis 413 pièces Hauteur : 8.95 mm Diamètre : 24.7 mm Fréquence : 21 600 alternances/heur Réserve de marche de 15 jours Boîte Or rose 18 carats Bracelet Boucle ardillon en or rose 18 carats Cadran Or rose 18 carats |
Master Grande Tradition à Répétitions Minutes de Jaeger-LeCoultre
La construction d’une montre à répétition ne requiert pas uniquement des décennies d’expérience dans les domaines les plus ardus de la Haute Horlogerie, mais également une connaissance approfondie de la théorie musicale et de la physique du son ainsi que l’aptitude à créer un instrument en miniature, capable de transformer la précise mesure mécanique du temps en un univers de pures harmonies.
A l'évidence, depuis plusieurs années, les ingénieurs et les horlogers du Sentier n'ont pas ménagé leurs efforts pour parvenir à un niveau d’excellence dans le domaine des mouvements à Répétitions Minutes.
Comme à l'accoutumée, il convenait ici de comprendre la démarche des artisans d'antan. Mais il s'agissait aussi de la dépasser, de recourir aux méthodes et aux technologies contemporaines pour relever de nouveaux défis. Tribut reconnu et hommage rendu, les horlogers d’aujourd’hui pouvaient se mettre à la tâche.
Innovation
En 2005, le lancement de la Master Minute Repeater Antoine LeCoultre (Calibre 947) avait créé la sensation avec son timbre de cristal breveté qui représentait une avancée majeure dans le domaine du son. En effet, le support des timbres était soudé au verre saphir de la montre afin de tirer avantage des propriétés de célérité du verre saphir pour accroître l’intensité et la pureté de la vibration sonore émise.
Après plusieurs années de recherches destinées à créer un son aussi pur que possible, Jaeger-LeCoultre a mis au point une forme de timbre entièrement inédite, employée pour la première fois sur la Master Minute Repeater de 2007. Confectionnés en une seule pièce qui s’étend du support – le talon – au timbre proprement dit, ils présentent une section carrée, en opposition à la section ronde traditionnelle, et une surface de contact plus importante avec le marteau qui, à son tour, peut exercer une frappe d’une force accrue. Pour leur part, les timbres étaient réalisés en un matériau à la formule confidentielle dont Jaeger-LeCoultre avait, et a toujours, l’exclusivité.
Les innovations techniques se sont succédées sur le Calibre 947 qui ne cesse d’écrire l’histoire du son dans l’horlogerie : en 2009, la Grande Maison de la Vallée de Joux dévoile la première répétition minutes avec 2 semaines de réserve de marche alliée à un affichage régulateur.
Performance : un son exceptionnel
L'ampleur du projet auquel les horlogers s'étaient attelés s'est progressivement révélée au cours des longues études effectuées dans la quête d’un son encore inégalé pour une répétition minutes. Avant toute chose il convenait de caractériser le son recherché et d’en fixer les paramètres.
Un son se compose de quatre composantes principales.
Le volume est la force perçue. Exprimé en décibels, il représente le niveau de pression sonore exercée sur l’oreille. Il est directement fonction de la pression acoustique exercée sur le tympan. Une variation de 10 décibels représente un doublement de la pression exercée sur le tympan, donc un doublement du volume perçu.
La deuxième composante d’un son est sa durée. Elle représente le temps écoulé jusqu’à ce que le son émis perde 20 décibels. Les durées mesurées sont de l’ordre de plusieurs centaines de millisecondes.
Les deux autres caractéristiques d’un son demeurent la richesse et la justesse. La richesse dépend du nombre de partiels perçus. Plus le nombre de partiels est grand, plus le son est coloré et harmonieux. La justesse correspond à la hauteur et à l’accord du nominal de la note frappée et au respect de l’intervalle d’une tierce entre les deux notes.
A la Manufacture, toutes les mesures sont effectuées à l’aide d’un microphone, placé à une distance déterminée de la source du son, mais aussi à l’aide d’un rayon laser afin d’avoir des mesures non perturbées par le milieu ambiant.
Les spécialistes de Jaeger-LeCoultre ont travaillé sur chacun de ces paramètres pour les optimiser. Le résultat est tout simplement époustouflant. La Master Grande Tradition à Répétitions Minutes de Jaeger-LeCoultre produit une sonorité qui n'a jamais existée dans une montre-bracelet. Avec 64 décibels, des durées supérieures à 600 millisecondes et une richesse de 9 partiels, le son produit dépasse toutes les performances jusque-là établies pour une montre-bracelet.
Même les oreilles les moins mélomanes feront la différence immédiatement.
Montre à Répétitions Minutes – la quête de la prouesse horlogère
La difficulté technique d'une montre à répétition réside dans la complexité du mécanisme qui sert à lire l'heure sur les aiguilles afin de la transcrire par une succession de coups qui décomptent, dans le cas de la répétition minutes, les heures, les quarts et les minutes. Le ressort de barillet de la répétition minutes engrange, grâce au déplacement angulaire du verrou, toute l’énergie nécessaire pour lancer le ballet qui va suivre. Simultanément les râteaux - ainsi nommés car ils portent une série de dents alignées – des heures, des quarts et des minutes sont armés et se mettent en position. Un ingénieux débrayage permet de mettre hors fonction le rouage de sonnerie et le régulateur centrifuge pendant l’armage. Durant l’armage des râteaux, les marteaux des 2 timbres s’écartent de leur position pour laisser passer les râteaux. C’est pourquoi il ne faut jamais réarmer un mécanisme de répétition minute lorsqu’il sonne.
Une fois l’armage complété, l’énergie du ressort de barillet se libère à travers le régulateur de vitesse, qui utilise le principe de la force centrifuge pour maintenir constante la vitesse de frappe des marteaux.
De la brièveté de la frappe dépend beaucoup la qualité du son. Si le marteau reste en contact avec le timbre, la vibration de ce dernier sera fortement perturbée, et le son émis de qualité médiocre. Le réglage de la frappe reste un des éléments clés et des plus délicats d’une répétition minutes.
La production d'un son dans une montre repose sur ce dispositif qui requiert la présence de deux timbres circulaires, enroulés à l'intérieur du boîtier, et de petits marteaux qui les frappent à intervalles réguliers.
La qualité sonore d’une montre qui délivre une indication acoustique de l’heure dépend dans une large mesure des timbres, les éléments essentiels qui produisent le son, de manière assez semblable aux cordes frappées par les marteaux d’un piano. Ensuite, le boîtier amplifie et enrichit le son émis par les timbres en lui ajoutant diverses tonalités et harmonies.
Master Grande Tradition à Répétitions Minutes de Jaeger-LeCoultre
La construction d’une montre à répétition ne requiert pas uniquement des décennies d’expérience dans les domaines les plus ardus de la Haute Horlogerie, mais également une connaissance approfondie de la théorie musicale et de la physique du son ainsi que l’aptitude à créer un instrument en miniature, capable de transformer la précise mesure mécanique du temps en un univers de pures harmonies.
A l'évidence, depuis plusieurs années, les ingénieurs et les horlogers du Sentier n'ont pas ménagé leurs efforts pour parvenir à un niveau d’excellence dans le domaine des mouvements à Répétitions Minutes.
Comme à l'accoutumée, il convenait ici de comprendre la démarche des artisans d'antan. Mais il s'agissait aussi de la dépasser, de recourir aux méthodes et aux technologies contemporaines pour relever de nouveaux défis. Tribut reconnu et hommage rendu, les horlogers d’aujourd’hui pouvaient se mettre à la tâche.
Innovation
En 2005, le lancement de la Master Minute Repeater Antoine LeCoultre (Calibre 947) avait créé la sensation avec son timbre de cristal breveté qui représentait une avancée majeure dans le domaine du son. En effet, le support des timbres était soudé au verre saphir de la montre afin de tirer avantage des propriétés de célérité du verre saphir pour accroître l’intensité et la pureté de la vibration sonore émise.
Après plusieurs années de recherches destinées à créer un son aussi pur que possible, Jaeger-LeCoultre a mis au point une forme de timbre entièrement inédite, employée pour la première fois sur la Master Minute Repeater de 2007. Confectionnés en une seule pièce qui s’étend du support – le talon – au timbre proprement dit, ils présentent une section carrée, en opposition à la section ronde traditionnelle, et une surface de contact plus importante avec le marteau qui, à son tour, peut exercer une frappe d’une force accrue. Pour leur part, les timbres étaient réalisés en un matériau à la formule confidentielle dont Jaeger-LeCoultre avait, et a toujours, l’exclusivité.
Les innovations techniques se sont succédées sur le Calibre 947 qui ne cesse d’écrire l’histoire du son dans l’horlogerie : en 2009, la Grande Maison de la Vallée de Joux dévoile la première répétition minutes avec 2 semaines de réserve de marche alliée à un affichage régulateur.
Performance : un son exceptionnel
L'ampleur du projet auquel les horlogers s'étaient attelés s'est progressivement révélée au cours des longues études effectuées dans la quête d’un son encore inégalé pour une répétition minutes. Avant toute chose il convenait de caractériser le son recherché et d’en fixer les paramètres.
Un son se compose de quatre composantes principales.
Le volume est la force perçue. Exprimé en décibels, il représente le niveau de pression sonore exercée sur l’oreille. Il est directement fonction de la pression acoustique exercée sur le tympan. Une variation de 10 décibels représente un doublement de la pression exercée sur le tympan, donc un doublement du volume perçu.
La deuxième composante d’un son est sa durée. Elle représente le temps écoulé jusqu’à ce que le son émis perde 20 décibels. Les durées mesurées sont de l’ordre de plusieurs centaines de millisecondes.
Les deux autres caractéristiques d’un son demeurent la richesse et la justesse. La richesse dépend du nombre de partiels perçus. Plus le nombre de partiels est grand, plus le son est coloré et harmonieux. La justesse correspond à la hauteur et à l’accord du nominal de la note frappée et au respect de l’intervalle d’une tierce entre les deux notes.
A la Manufacture, toutes les mesures sont effectuées à l’aide d’un microphone, placé à une distance déterminée de la source du son, mais aussi à l’aide d’un rayon laser afin d’avoir des mesures non perturbées par le milieu ambiant.
Les spécialistes de Jaeger-LeCoultre ont travaillé sur chacun de ces paramètres pour les optimiser. Le résultat est tout simplement époustouflant. La Master Grande Tradition à Répétitions Minutes de Jaeger-LeCoultre produit une sonorité qui n'a jamais existée dans une montre-bracelet. Avec 64 décibels, des durées supérieures à 600 millisecondes et une richesse de 9 partiels, le son produit dépasse toutes les performances jusque-là établies pour une montre-bracelet.
Même les oreilles les moins mélomanes feront la différence immédiatement.
Montre à Répétitions Minutes – la quête de la prouesse horlogère
La difficulté technique d'une montre à répétition réside dans la complexité du mécanisme qui sert à lire l'heure sur les aiguilles afin de la transcrire par une succession de coups qui décomptent, dans le cas de la répétition minutes, les heures, les quarts et les minutes. Le ressort de barillet de la répétition minutes engrange, grâce au déplacement angulaire du verrou, toute l’énergie nécessaire pour lancer le ballet qui va suivre. Simultanément les râteaux - ainsi nommés car ils portent une série de dents alignées – des heures, des quarts et des minutes sont armés et se mettent en position. Un ingénieux débrayage permet de mettre hors fonction le rouage de sonnerie et le régulateur centrifuge pendant l’armage. Durant l’armage des râteaux, les marteaux des 2 timbres s’écartent de leur position pour laisser passer les râteaux. C’est pourquoi il ne faut jamais réarmer un mécanisme de répétition minute lorsqu’il sonne.
Une fois l’armage complété, l’énergie du ressort de barillet se libère à travers le régulateur de vitesse, qui utilise le principe de la force centrifuge pour maintenir constante la vitesse de frappe des marteaux.
De la brièveté de la frappe dépend beaucoup la qualité du son. Si le marteau reste en contact avec le timbre, la vibration de ce dernier sera fortement perturbée, et le son émis de qualité médiocre. Le réglage de la frappe reste un des éléments clés et des plus délicats d’une répétition minutes.
La production d'un son dans une montre repose sur ce dispositif qui requiert la présence de deux timbres circulaires, enroulés à l'intérieur du boîtier, et de petits marteaux qui les frappent à intervalles réguliers.
La qualité sonore d’une montre qui délivre une indication acoustique de l’heure dépend dans une large mesure des timbres, les éléments essentiels qui produisent le son, de manière assez semblable aux cordes frappées par les marteaux d’un piano. Ensuite, le boîtier amplifie et enrichit le son émis par les timbres en lui ajoutant diverses tonalités et harmonies.
Marque : | Jaeger-LeCoultre |
Collection : | Master Grande Tradition |
Modèle : | Master Grande Tradition à Répétition Minutes |
Référence : | Q5012550 |
Complément : | Or Rose - Bracelet Alligator |
Année : | 2012 |
N'est plus commercialisé | |
Prix du neuf : | 190 000 € |
Diamètre : | 44 mm |
Styles : | Atypique |
Types : | Mécanique à remontage manuel |
Calibre : | Jaeger-LeCoultre 947 |
Calibre distinction : | Décoré main Fabriqué main Assemblé main |
Complication : | Indicateur de Réserve de Marche Répétition Minutes |
Matière du boîtier : | Or rose |
Particularité du boitier : | Gâchette pour actionner la répétition minutes Couronne pour le remontage de la montre le réglage des heures et des minutes |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 50 mètres |
Cadran : | Squelette |
Couleur du cadran : | Doré |
Affichage : | Aiguilles Dauphines |
Index : | Triangles Chiffres arabes Appliques rhodiées |
Verre : | Saphir |
Matière du bracelet : | Alligator |
Couleur du bracelet : | Chocolat |
Fermeture du bracelet : | Boucle ardillon |
Plus de caractéristiques : | Mouvement 43 rubis 413 pièces Hauteur : 8.95 mm Diamètre : 24.7 mm Fréquence : 21 600 alternances/heur Réserve de marche de 15 jours Boîte Or rose 18 carats Bracelet Boucle ardillon en or rose 18 carats Cadran Or rose 18 carats |