Portugaise Répétition Minutes

IW544906

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Portugaise Répétition Minutes

Marque  : IWC
Collection  : Portugaise
Modèle  : Portugaise Répétition Minutes
Référence  : IW544906
Nbre de pièces : 500
Complément : Platine - Cadran Argenté
Année : 2010
N'est plus commercialisé

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  • Marque  : IWC
    Collection  : Portugaise
    Modèle  : Portugaise Répétition Minutes
    Référence  : IW544906
    Nbre de pièces : 500
    Complément : Platine - Cadran Argenté
    Année : 2010
    N'est plus commercialisé
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 44 mm
    Epaisseur : 14 mm
    Styles : Classique
    Haute Horlogerie
    Types : Mécanique à remontage manuel
    Calibre : 98950
    Complication : Répétition Minutes
    Petite Seconde
    Stop-seconde
    Matière du boîtier : Platine
    Particularité du boitier : Fond saphir
    Forme : Ronde
    Etanchéité : 30 mètres
    Cadran : Argenté
    Affichage : Aiguilles Feuille
    Index : Chemin de fer
    Chiffres arabes
    Verre : Bombé
    Saphir
    Traitement anti-reflet
    Matière du bracelet : Alligator
    Couleur du bracelet : Noir
    Fermeture du bracelet : Boucle déployante
    + Plus de caractéristiques : Mouvement
    52 rubis
    Fréquence :
    18 800 alternances / h
    Réserve de marche : 46 h
    Mécanisme de Répétition Minutes :
    205 composants

    Boucle en platine

DESCRIPTION

  • L’héritage des marins

    En 2010, IWC fête ses légendaires montres Portugaise

    En 2010, IWC fête l’une de ses familles de montres à la tradition la plus riche: en effet, les montres Portugaise entreront dans leur huitième décennie. L’occasion rêvée pour créer de fascinantes nouveautés telles que la Portugaise Grande Complication, la Portugaise Tourbillon Mystère Rétrograde ou la Portugaise Yacht Club Chronographe. Ces instruments de précision de grand format préservent encore aujourd’hui l’héritage des marins célèbres et le transmettent aux explorateurs d’aujourd’hui.

    «Héros des mers, noble peuple…», ainsi commence l’hymne national portugais. Il est l’expression d’une mémoire collective au sein de laquelle les grands navigateurs portugais – Vasco de Gama, Bartholomeu Dias ou Fernando Magellan – continuent à vivre aujourd’hui encore. En 1934, Fernando Pessoa écrivit «Mar português» («Ô mer salée, combien de ton sel provient des larmes du Portugal'...»), un poème qui rend un vibrant hommage à l’héroïsme des navigateurs qui, les premiers, ont permis au Portugal d’acquérir une renommée mondiale. Cinq ans plus tard, en 1939, IWC livrait les premières montres Portugaise commandées par deux importateurs de Lisbonne et de Porto, à savoir des gardetemps de précision surdimensionnés et dotés de mouvements de montres de poche, dans la plus pure tradition des instruments nautiques. C’est ainsi que naquit une nouvelle catégorie de montres qui constituent aujourd’hui un élément important de l’identité d’IWC en matière d’horlogerie et qui sont les ambassadrices mondialement convoitées de la culture horlogère à son plus haut niveau.

    En 2010, les montres Portugaise d’IWC entrent dans leur huitième décennie. Elles sont restées pleinement fidèles à leur héritage historique: clarté, dimensions, précision et mécanique exigeante. C’est cette famille de montres qui est aujourd’hui dotée de la plupart des complications de Haute Horlogerie d’IWC. Et l’on en verra naître encore quelques-unes pour marquer «l’année Portugaise» que la manufacture de Schaffhausen consacre à ces grands classiques. L’inventivité d’IWC en matière d’horlogerie, merveilleusement mise en valeur dans des boîtiers dont le diamètre varie entre 40 et 45 millimètres, est impressionnante.

    Un nouveau venu dans le choeur de Schaffhausen

    Portugaise Répétition Minutes

    La répétition minutes d’IWC Schaffhausen fait partie des complications horlogères les plus belles et les plus exclusives. Sur le plan du style, le modèle lancé en 2009 s’inscrit dans le droit fil de ses prédécesseurs – avec comme différence la plus frappante le fait que l’indication des secondes a migré de «9 heures» à «6 heures».

    La répétition minutes, que l’on construit aujourd’hui beaucoup plus rarement que le tourbillon en raison de son degré de complexité horlogère, est la complication qui véhicule le plus d’émotions. Parce qu’elle n’enchante pas seulement l’oeil, mais pénètre aussi directement dans le monde des sensations par le biais de l’oreille, où elle fait jouer des cordes très sensibles. Rendre audible et mesurable le temps vécu, comme le font par exemple les clochers avec leur carillon, est une qualité de la perception du temps différente du coup d’oeil, furtif ou prolongé, jeté sur le cadran.

    Quand, dans les années quatre-vingt, la manufacture IWC Schaffhausen a mis au point sa répétition minutes personnelle pour sa Grande Complication, projet dans lequel elle a investi des milliers d’heures de travail, elle a non seulement obtenu un résultat exceptionnel à tout point de vue sur le plan technique, mais elle y a aussi pris goût. Le chef-d’oeuvre acoustique porté au poignet, qui sonne l’heure à la minute près sur deux ressorts-timbres différents et soigneusement accordés lorsque l’on actionne le poussoir, fait depuis lors partie intégrante du répertoire de ses spécialités. Au cours des deux décennies écoulées, IWC a mis au point et fabriqué un nombre considérable de mécanismes de répétition – pour la Grande Complication, la Il Destriero Scafusia et pour plusieurs séries limitées de montres à répétition dans le boîtier de la Portugaise, séries construites à partir de 1995. Toutes étaient animées par le mouvement de montre de poche IWC cal. 95290 éprouvé. Une motorisation très précise, fruit d’une immense tradition et très plate selon la construction Lépine pour montres de poche ouvertes. 

    Avec la nouvelle Portugaise Répétition Minutes, le boîtier a vu son diamètre augmenter de deux millimètres pour s’établir à 44 mm, sa hauteur étant désormais de 14 mm, et il en existera respectivement 500 exemplaires limités en platine
    et en or rose.

    La Portugaise Répétition Minutes a reçu le boîtier de plus grand diamètre en raison d’une nouvelle motorisation. Il s’agit cette fois d’un mouvement de montre de poche à remontage manuel, le cal. 98950 – dont les origines remontent aux années vingt et qui, depuis, n’a cessé d’être actualisé, amélioré et modernisé. Un véritable marathonien qui a su conserver ses propriétés tout en s’enrichissant de quelques éléments de style des anciens calibres Jones: balancier avec microréglage par excentrique sur les bras du balancier, spiral Breguet, pont trois quarts platine en maillechort, longue raquette de régulation de précision et décoration spéciale avec gravure plaquée or.

    Il faut s’intéresser d’un peu plus près à l’art de l’horlogerie pour expliquer la petite différence visible sur le cadran, à savoir pourquoi l’affichage des secondes a migré de «9 heures» à «6 heures»: la famille de calibres 98000 a toujours été un mouvement Savonnette, construit pour les montres de poche avec couvercle à ressort. Cela signifie qu’avec ce mouvement, l’arbre de remontage (couronne) et la petite seconde décrivent un angle de 90 degrés. La construction Lépine – et la famille de calibres 95 en fait partie –, les rouages, par contre, sont ordonnés de telle manière que l’arbre de remontage et la petite seconde se trouvent dans le même prolongement. Ce qui a du sens pour une montre de poche ouverte – avec l’affichage des secondes à «6 heures». Dans le cas d’une montre-bracelet que l’on consulte comme une montre avec couvercle à ressort, cette position est, par contre, quelque peu inhabituelle parce que, dans ce caslà, l’affichage des secondes doit être positionné à «9 heures». Toutes les Portugaises Répétition Minutes fabriquées jusqu’à ce jour se sont distinguées par cette petite excentricité. La majorité des personnes qui les portent trouvent même séduisant cet agencement qui sort de l’ordinaire. La Portugaise Répétition Minutes actuelle va en revanche au-devant des amateurs de cadrans au design classique.

    Par son style, la nouvelle Portugaise Répétition Minutes rappelle ces modèles d’un autre âge. Le mécanisme de répétition lui aussi, dans lequel 205 composants différents coopèrent comme au sein d’un orchestre mécanique, est resté pratiquement le même. Il sonne toutes les heures écoulées depuis le dernier passage au-dessus du douze sur son ressort-timbre accordé avec une tonalité plus basse, les quarts d’heures écoulés depuis la dernière heure complète par une double tonalité et les minutes écoulées depuis le dernier quart d’heure par des chocs sur le ressort-timbre accordé avec une tonalité aiguë. La montre possède une commande tout-ou-rien qui garantit que la séquence de coups n’est déclenchée qu’à la condition que le poussoir latéral ait été enfoncé correctement. Pour l’initié, ce poussoir est un moyen d’identifier l’exclusivité horlogère de cette spécialité. Le fond transparent en verre saphir permet d’observer le mouvement finement décoré, dont le balancier oscille à une fréquence de 18 000 demi-oscillations/h.

    Quel amoureux de belles montres n’a pas rêvé un jour de porter un tel chef-d’oeuvre' C’est la raison pour laquelle IWC reste attaché à cet anachronisme horloger. Même si, depuis l’invention de la lumière électrique et des aiguilles électroluminescentes, personne n’en a plus réellement «besoin».

  • L’héritage des marins

    En 2010, IWC fête ses légendaires montres Portugaise

    En 2010, IWC fête l’une de ses familles de montres à la tradition la plus riche: en effet, les montres Portugaise entreront dans leur huitième décennie. L’occasion rêvée pour créer de fascinantes nouveautés telles que la Portugaise Grande Complication, la Portugaise Tourbillon Mystère Rétrograde ou la Portugaise Yacht Club Chronographe. Ces instruments de précision de grand format préservent encore aujourd’hui l’héritage des marins célèbres et le transmettent aux explorateurs d’aujourd’hui.

    «Héros des mers, noble peuple…», ainsi commence l’hymne national portugais. Il est l’expression d’une mémoire collective au sein de laquelle les grands navigateurs portugais – Vasco de Gama, Bartholomeu Dias ou Fernando Magellan – continuent à vivre aujourd’hui encore. En 1934, Fernando Pessoa écrivit «Mar português» («Ô mer salée, combien de ton sel provient des larmes du Portugal'...»), un poème qui rend un vibrant hommage à l’héroïsme des navigateurs qui, les premiers, ont permis au Portugal d’acquérir une renommée mondiale. Cinq ans plus tard, en 1939, IWC livrait les premières montres Portugaise commandées par deux importateurs de Lisbonne et de Porto, à savoir des gardetemps de précision surdimensionnés et dotés de mouvements de montres de poche, dans la plus pure tradition des instruments nautiques. C’est ainsi que naquit une nouvelle catégorie de montres qui constituent aujourd’hui un élément important de l’identité d’IWC en matière d’horlogerie et qui sont les ambassadrices mondialement convoitées de la culture horlogère à son plus haut niveau.

    En 2010, les montres Portugaise d’IWC entrent dans leur huitième décennie. Elles sont restées pleinement fidèles à leur héritage historique: clarté, dimensions, précision et mécanique exigeante. C’est cette famille de montres qui est aujourd’hui dotée de la plupart des complications de Haute Horlogerie d’IWC. Et l’on en verra naître encore quelques-unes pour marquer «l’année Portugaise» que la manufacture de Schaffhausen consacre à ces grands classiques. L’inventivité d’IWC en matière d’horlogerie, merveilleusement mise en valeur dans des boîtiers dont le diamètre varie entre 40 et 45 millimètres, est impressionnante.

    Un nouveau venu dans le choeur de Schaffhausen

    Portugaise Répétition Minutes

    La répétition minutes d’IWC Schaffhausen fait partie des complications horlogères les plus belles et les plus exclusives. Sur le plan du style, le modèle lancé en 2009 s’inscrit dans le droit fil de ses prédécesseurs – avec comme différence la plus frappante le fait que l’indication des secondes a migré de «9 heures» à «6 heures».

    La répétition minutes, que l’on construit aujourd’hui beaucoup plus rarement que le tourbillon en raison de son degré de complexité horlogère, est la complication qui véhicule le plus d’émotions. Parce qu’elle n’enchante pas seulement l’oeil, mais pénètre aussi directement dans le monde des sensations par le biais de l’oreille, où elle fait jouer des cordes très sensibles. Rendre audible et mesurable le temps vécu, comme le font par exemple les clochers avec leur carillon, est une qualité de la perception du temps différente du coup d’oeil, furtif ou prolongé, jeté sur le cadran.

    Quand, dans les années quatre-vingt, la manufacture IWC Schaffhausen a mis au point sa répétition minutes personnelle pour sa Grande Complication, projet dans lequel elle a investi des milliers d’heures de travail, elle a non seulement obtenu un résultat exceptionnel à tout point de vue sur le plan technique, mais elle y a aussi pris goût. Le chef-d’oeuvre acoustique porté au poignet, qui sonne l’heure à la minute près sur deux ressorts-timbres différents et soigneusement accordés lorsque l’on actionne le poussoir, fait depuis lors partie intégrante du répertoire de ses spécialités. Au cours des deux décennies écoulées, IWC a mis au point et fabriqué un nombre considérable de mécanismes de répétition – pour la Grande Complication, la Il Destriero Scafusia et pour plusieurs séries limitées de montres à répétition dans le boîtier de la Portugaise, séries construites à partir de 1995. Toutes étaient animées par le mouvement de montre de poche IWC cal. 95290 éprouvé. Une motorisation très précise, fruit d’une immense tradition et très plate selon la construction Lépine pour montres de poche ouvertes. 

    Avec la nouvelle Portugaise Répétition Minutes, le boîtier a vu son diamètre augmenter de deux millimètres pour s’établir à 44 mm, sa hauteur étant désormais de 14 mm, et il en existera respectivement 500 exemplaires limités en platine
    et en or rose.

    La Portugaise Répétition Minutes a reçu le boîtier de plus grand diamètre en raison d’une nouvelle motorisation. Il s’agit cette fois d’un mouvement de montre de poche à remontage manuel, le cal. 98950 – dont les origines remontent aux années vingt et qui, depuis, n’a cessé d’être actualisé, amélioré et modernisé. Un véritable marathonien qui a su conserver ses propriétés tout en s’enrichissant de quelques éléments de style des anciens calibres Jones: balancier avec microréglage par excentrique sur les bras du balancier, spiral Breguet, pont trois quarts platine en maillechort, longue raquette de régulation de précision et décoration spéciale avec gravure plaquée or.

    Il faut s’intéresser d’un peu plus près à l’art de l’horlogerie pour expliquer la petite différence visible sur le cadran, à savoir pourquoi l’affichage des secondes a migré de «9 heures» à «6 heures»: la famille de calibres 98000 a toujours été un mouvement Savonnette, construit pour les montres de poche avec couvercle à ressort. Cela signifie qu’avec ce mouvement, l’arbre de remontage (couronne) et la petite seconde décrivent un angle de 90 degrés. La construction Lépine – et la famille de calibres 95 en fait partie –, les rouages, par contre, sont ordonnés de telle manière que l’arbre de remontage et la petite seconde se trouvent dans le même prolongement. Ce qui a du sens pour une montre de poche ouverte – avec l’affichage des secondes à «6 heures». Dans le cas d’une montre-bracelet que l’on consulte comme une montre avec couvercle à ressort, cette position est, par contre, quelque peu inhabituelle parce que, dans ce caslà, l’affichage des secondes doit être positionné à «9 heures». Toutes les Portugaises Répétition Minutes fabriquées jusqu’à ce jour se sont distinguées par cette petite excentricité. La majorité des personnes qui les portent trouvent même séduisant cet agencement qui sort de l’ordinaire. La Portugaise Répétition Minutes actuelle va en revanche au-devant des amateurs de cadrans au design classique.

    Par son style, la nouvelle Portugaise Répétition Minutes rappelle ces modèles d’un autre âge. Le mécanisme de répétition lui aussi, dans lequel 205 composants différents coopèrent comme au sein d’un orchestre mécanique, est resté pratiquement le même. Il sonne toutes les heures écoulées depuis le dernier passage au-dessus du douze sur son ressort-timbre accordé avec une tonalité plus basse, les quarts d’heures écoulés depuis la dernière heure complète par une double tonalité et les minutes écoulées depuis le dernier quart d’heure par des chocs sur le ressort-timbre accordé avec une tonalité aiguë. La montre possède une commande tout-ou-rien qui garantit que la séquence de coups n’est déclenchée qu’à la condition que le poussoir latéral ait été enfoncé correctement. Pour l’initié, ce poussoir est un moyen d’identifier l’exclusivité horlogère de cette spécialité. Le fond transparent en verre saphir permet d’observer le mouvement finement décoré, dont le balancier oscille à une fréquence de 18 000 demi-oscillations/h.

    Quel amoureux de belles montres n’a pas rêvé un jour de porter un tel chef-d’oeuvre' C’est la raison pour laquelle IWC reste attaché à cet anachronisme horloger. Même si, depuis l’invention de la lumière électrique et des aiguilles électroluminescentes, personne n’en a plus réellement «besoin».

  • Marque  : IWC
    Collection  : Portugaise
    Modèle  : Portugaise Répétition Minutes
    Référence  : IW544906
    Nbre de pièces : 500
    Complément : Platine - Cadran Argenté
    Année : 2010
    N'est plus commercialisé
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 44 mm
    Epaisseur : 14 mm
    Styles : Classique
    Haute Horlogerie
    Types : Mécanique à remontage manuel
    Calibre : 98950
    Complication : Répétition Minutes
    Petite Seconde
    Stop-seconde
    Matière du boîtier : Platine
    Particularité du boitier : Fond saphir
    Forme : Ronde
    Etanchéité : 30 mètres
    Cadran : Argenté
    Affichage : Aiguilles Feuille
    Index : Chemin de fer
    Chiffres arabes
    Verre : Bombé
    Saphir
    Traitement anti-reflet
    Matière du bracelet : Alligator
    Couleur du bracelet : Noir
    Fermeture du bracelet : Boucle déployante
    Plus de caractéristiques : Mouvement
    52 rubis
    Fréquence :
    18 800 alternances / h
    Réserve de marche : 46 h
    Mécanisme de Répétition Minutes :
    205 composants

    Boucle en platine