Type XX Chronographe 2067

2067ST/92/3WU

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Type XX Chronographe 2067

Marque  : Breguet
Collection  : Type XX
Modèle  : Type XX Chronographe 2067
Référence  : 2067ST/92/3WU
Complément : Acier - Cadran Noir - Bracelet Cuir de Veau
En vente depuis : Juin 2023

19 100 €Prix neuf constaté FranceJE LA VEUX

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Type XX Chronographe 2067

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  • Marque  : Breguet
    Collection  : Type XX
    Modèle  : Type XX Chronographe 2067
    Référence  : 2067ST/92/3WU
    Complément : Acier - Cadran Noir - Bracelet Cuir de Veau
    En vente depuis : Juin 2023
    Prix du neuf : 19 100 €
    Diamètre : 41 mm
    Epaisseur : 14.1 mm
    Styles : Vintage
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 728
    Calibre distinction : Spiral plat en silicium
    Echappement à ancre en ligne inversée avec cornes en silicium
    Complication : Petite Seconde
    Date
    Chronographe
    Chronographe Flyback (Retour en Vol)
    Compteur 12 Heures
    Compteur 15 Minutes
    Matière du boîtier : Acier
    Forme : Ronde
    Etanchéité : 100 mètres
    Couleur du cadran : Noir
    Matière du bracelet : Cuir
    + Plus de caractéristiques :
    Mouvement
    Mouvement: Remontage automatique
    Calibre: 728
    Fréquence: 5 Hz
    Réserve de marche: 60 heures
    Composants: 339

    Boitier
    Acier

    Cadran
    Noir

    Bracelet / Boucles
    Set de deux bracelets interchangeables, 1 en cuir de veau, 1 en tissu NATO

DESCRIPTION

  • BREGUET TYPE XX

    Dossier de presse - Français Juin 2023

    TYPE XX RETOUR EN FORCE

    Iconique depuis près de 70 ans, cette collection a accompagné l’histoire de l’aviation, que ce soit au poignet de pilotes en qualité d’instrument de précision ou à celui d’amateurs fascinés par ses qualités légendaires. La Manufacture Breguet est fière de dévoiler aujourd’hui une ligne repensée, à la fois innovante, très contemporaine et riche de multiples clins d’œil à l’histoire.

    Année 2023 : nouveau Type XX, nouvelle génération, nouveau calibre, un souffle nouveau ! Quatre ans de travail ont été nécessaires avant de dévoiler la nouvelle génération de l’iconique Type XX, avec deux versions pour combler toutes les attentes – l’une d’allure militaire, l’autre inspirée des plus beaux modèles civils. Dans le sillage de pièces emblématiques de la première génération, la maison a insufflé à ces montres un esprit contemporain, dynamique et technologique. La saga du Type XX n’est décidément pas prête de s’arrêter !

    L’ENVOL D’UNE MONTRE ICONIQUE

    C’est tout naturellement que pour son nouveau Type XX, la maison Breguet a puisé dans son riche patrimoine. Et si l’on replace les choses dans leur contexte, on se rappelle qu’au début des années 1950, la marque horlogère avait su répondre aux exigences des forces aériennes, qui souhaitaient alors s’équiper d’un chronographe de poignet robuste et doté de caractéristiques particulières.

    Maison au prestige bien connu, soucieuse d’accompagner les grandes aventures humaines, Breguet s’est mise au XXe siècle au service de la navigation aérienne comme elle s’était mise, au XIXe siècle, à celui de la navigation maritime. De nombreux pilotes acquièrent des montres Breguet : Alberto Santos-Dumont en 1910, des soldats américains stationnés en France en 1918, la société d’aviation Louis Breguet, des pilotes japonais en visite en France dans les années 1920 et bien d’autres encore…

    Pour un pilote, et plus largement pour un navigant, avoir l’heure à bord d’un avion, conserver ses repères temporels dans un environnement d’activité intense et de stress, est une nécessité vitale qui deviendra bientôt une exigence règlementaire. Mesurer son temps de vol, chronométrer des temps de vol intermédiaires, suivre sa consommation de carburant, faire des repérages, effectuer des manœuvres… Tout cela demande des in- struments que les horlogers au fil des années rendront à la fois plus précis et plus pratiques à manipuler: montres chronographes de bord et bientôt, montres-bracelets chronog- raphes.

    La consultation des archives permet de constater que les produits « spéciaux », c’est-à-dire adaptés aux contraintes partic- ulières de l’environnement aéronautique, sont nombreux à partir des années 1930: chronomètres d’aérodrome 19-lignes dans une boîte d’argent antimagnétique, chro- nographes compteurs à rattrapante, petits chronomètres de bord 24-lignes dotés d’une boîte calorifugée, d’un thermostat et d’un éclairage, sidéromètres… Autant de pièces très techniques livrées tant à l’aéronautique militaire qu’à la jeune compagnie nationale Air France.

    La livraison d’instruments horlogers destinés au tableau de bord des aéronefs s’accentue dès le début des années 1950 et constitue l’une des spécialités reconnues de Breguet pendant pas moins de trois décennies. Les modèles les plus répandus sont les Type 11, 11/1 et 12, vendus dans une dizaine de pays et présents dans de nombreux avions, notamment l’inoubliable supersonique Concorde. 

    Dès les années 1930, la maison produit de plus en plus de montres-bracelets dotées de la fonction chronographe, une tendance confirmée après-guerre. L’essor du chronographe de poignet est lancé et ne s’arrêtera plus. 

    Pour les pilotes, l’heure est si précieuse à bord qu’il faut, par sécurité, mettre en place une re- dondance. Au chronographe fixé au tableau de bord vient donc s’ajouter un autre chro- nographe – et pas n’importe lequel –, attaché au poignet du pilote. Si l’un devient inutilis- able, l’autre prend le relai. C’est là tout le sens des instruments horlogers dont la maison Breguet va devenir spécialiste, notamment avec le mythique Type XX.

    PARCOURS D’UNE ICÔNE, REPÈRES CHRONOLOGIQUES

    Brosser en quelques lignes le tableau historique d’une pièce aussi emblématique que le Type XX est chose impossible. Aussi nous contenterons-nous de retracer à grands traits les principaux modèles qui ont jalonné le catalogue de la maison depuis près de 70 ans.

    Selon les archives, l’histoire commence au tout début des années 1950, quand la maison, déjà spécialiste dans la fabrica- tion de produits pointus pour l’aviation, apprend que l’armée de l’Air française cherche à équiper ses pilotes d’une mon- tre-bracelet chronographe comportant les exigences suivantes : cadran noir à chiffres luminescents, aiguilles lumi- nescentes, mouvement de haute qualité résistant aux changements de pression et aux accélérations, lunette tournante et, bien sûr, fonction « retour en vol », pour ne citer que les plus importantes.

    C’est le ministère de l’Air qui donne au fu- tur produit le nom de « Type XX ».

    Plusieurs entreprises concourent et rem- portent des marchés, ce qui fait que plu- sieurs marques vont produire des Type XX ; d’autre part, les marques retenues pour les marchés publics peuvent égale- ment vendre le même produit à des cli- ents privés. C’est ainsi que l’on va trouver des Type XX militaires et des Type XX civils.

    Pour Breguet, les choses vont se passer de la manière suivante : les prototypes soumis par la maison en 1952 sont ho- mologués en 1953 par le Service Tech- nique Aéronautique. En 1954, l’armée de l’Air commande 1100 « Type 20 militaires » qui seront livrés entre 1955 et 1959. Ils ont un totalisateur de 30 mn et leur cad- ran est non signé ; au dos figurent les in- scriptions officielles « BREGUET – TYPE 20 – 5101/54 ».

    Autre client prestigieux, le Centre d’Essais en Vol (CEV), qui regroupe l’élite des pilotes d’essais, commande 80 pièces, livrées en- tre 1956 et 1957. Elles ont un totalisateur de 15 mn et cinquante d’entre elles sont dotées d’un compteur de 12 h à 6 h. Une inscription composée des lettres « CEV » et d’un numéro allant de 1 à 80 est gravée au dos.

    En 1958, c’est la Marine nationale qui, pour les pilotes et les navigants de sa com- posante aérienne, l’Aéronautique Navale, commande 500 pièces. Livrées en total- ité le 13 janvier 1960, ces pièces militaires Type XX sont sensiblement différentes de celles de l’armée de l’Air: leur totalisateur est de 15 minutes et se trouve dans un cercle au diamètre agrandi ; leur cadran est signé. On peut lire au dos l’inscription « BREGUET – MARINE NATIONALE – AERONAUTIQUE NAVALE – N° X / 500 ».

    La réputation du Type XX dépasse très vite le cercle du monde militaire et c’est aussi l’univers de l’aviation civile et des amateurs de chronographes qui se rend chez Breguet pour acquérir un Type XX. Même si le mouvement Valjoux 14-lignes est remplacé en 1963 par un mouvement modernisé de 13-lignes, et si l’on peut constater quelques variantes au niveau du cadran, des aiguilles ou de la lunette, le Type XX ne subit guère de modifications esthétiques jusqu’en 1970. Le nombre de Type XX « civils » vendus excède 2000 pièces.

    En 1971 arrive le Type XX de deuxième génération, reconnaissable à sa boîte agrandie en acier poli, à ses cornes épaisses et à sa lunette noire. Ce modèle est disponible avec ou sans totalisateur de 12 heures, cependant son compteur est toujours de 15 minutes.

    Près de 800 exemplaires de cette pièce se vendront, la plupart à des civils ; sur le plan militaire, signalons seulement les cinquante pièces livrées à la force aéri- enne royale du Maroc. À noter égale- ment les commandes de la société Aéro- spatiale (future Airbus Industries) et les achats de la Présidence de la République française pour faire des cadeaux officiels. Les dernières pièces sont vendues en 1986. Et c’est la fin (provisoire) de plus de trente ans d’une riche histoire. 

    À peine dix ans d’absence et c’est le re- nouveau du Type XX, avec l’apparition en 1995 de la troisième génération sous la forme de la référence 3800 « Aérona- vale» (sans date) puis de la référence 3820 « Transatlantique » (avec date). Le nouveau Type XX reprend les codes du monde l’aviation : cadran noir, lunette tournante, fonction « retour en vol », en ajoutant le confort d’un mouvement à remontage automatique. Sur le plan es- thétique, il possède une boîte à carrure cannelée, héritage un peu anachronique du style « Breguet ancien ».

    Le succès est au rendez-vous et les dé- clinaisons fort nombreuses ; métaux précieux et couleurs de cadrans défilent au cours des années. Un réveil (réf. 3860) et un Type XX pour dame (réf. 4820) complètent la famille qui va s’agrandir encore en 2004 avec l’arrivée du Type XXI (réf. 3810) et en 2010 avec l’impres- sionnant Type XXII (réf. 3880) qui in- tègre la technologie haute fréquence et le silicium. Le Type XXI connaitra à son tour de nombreuses déclinaisons et quelques séries limitées jusqu’aux pièces de ces dernières années (réf. 3817 et 3815).

    BREGUET AVIATION

    Fasciné par la conquête de l’air, le petit-fils de Louis Clément Breguet (lui-même petit-fils d’Abraham-Louis Breguet), Louis Charles se tourne au début du XXe siècle vers l’aventure aérienne. Il commence par construire des gyroplanes (ancêtres de l’hélicoptère), avant de créer en 1911 la Société anonyme des ateliers d’aviation Louis Breguet. Plusieurs de ses avions auront des carrières internationales. La famille Breguet avait de très bons rapports avec la famille Brown. Cette dernière avait racheté la maison d’horlogerie en 1870. C’est donc tout naturellement que l’avionneur Louis Breguet se tourne vers elle afin de lui faire part des besoins du monde aéronautique en matière d’horlogerie. Louis Breguet se fournira ainsi auprès de la société horlogère Breguet pour équiper ses avions et ses pilotes.

    En 1966, Marcel Dassault rachètera la société fondée par Louis Breguet et la fusionnera avec la sienne en 1971 sous la raison sociale Avions Marcel Dassault-Breguet Aviation. L’ensemble prendra son nom actuel « Dassault Aviation » en 1990.

    DES CLIENTS LÉGENDAIRES

    Avec la commande de l’armée de l’Air française, puis celle du Centre d’Essais en Vol (CEV), de l’Aéronautique Navale et de nombreux pilotes civils, c’est toute l’élite de l’aviation qui a évolué dans les cieux avec le fameux Type XX.

    On sait par les archives de la maison que l’un des premiers Type XX est offert par le constructeur d’avions Louis Breguet à la grande aviatrice Jacqueline Auriol, pilote d’essai et figure mondiale de l’aviation féminine.

    De nombreux organismes aéronautiques figurent aussi parmi les clients assidus du Type XX. La force aérienne royale du Maroc achète également, dans les années 1970, la deuxième génération de Type XX – tout comme la société Aérospatiale  (future  Airbus  Industries), la Présidence de la République française, l’ENAC (École nationale de l’aviation civile), la Gendarmerie nationale, la compagnie d’hélicoptères Héli-Union, l’OGA (Office Général de l’Air) et bien d’autres…

    Le Type XX sut également séduire l’univers sportif, et cela est peu connu. Des organisations de courses automobiles offrent aux vainqueurs une montre Type XX, c’est le cas du Rallye de       

    Monte-Carlo. Des coureurs célèbres tels que Fernand Masoero, Jack Brabham ou encore Pierre Alexandre eurent un Type XX à leur poignet. La montre de ce dernier figure d’ailleurs aujourd’hui dans les collections du Musée Breguet. Quant à la Fédération Française de Football, elle offrira à chacun des vainqueurs de la Coupe du monde 1998 un Type XX personnalisé.

    TYPE 20 CHRONOGRAPHE 2057

    L’héritage militaire

    Ce garde-temps s’inspire des 1100 exem- plaires livrés à l’armée de l’Air française entre 1955 et 1959 et dont le nom s’écrivait Type 20 en chiffres arabes, à la différence de tous les autres, y compris ceux de l’Aéronautique Na- vale, dont le nom s’écrivait Type XX en chiffres romains.

    Le cadran du chronographe 2057 noir a été modernisé tout en restant fidèle à l’identité Type 20. Les chiffres arabes ainsi que le trian- gle présent sur la lunette sont luminescents et arborent une teinte vert menthe, tout comme l’ensemble des aiguilles. Le compteur de 30 minutes, situé à 3 h, est désormais plus imposant que les secondes courantes affichées à 9 h, tandis qu’un guichet de date vient s’ajouter à 4 h 30. 

     La boîte en acier de 42 mm de diamètre est munie d’une lunette non graduée bidirection-nelle cannelée, comme celle des pièces livrées autrefois aux forces aériennes militaires. La couronne, qui reprend la forme poire d’origine, possède trois positions de réglage : 1) neutre, 2) correction de la date, 3) mise à l’heure. Le poussoir situé à 2 h permet le déclenchement de la fonction chronographe ; celui à 4 h, celle du « retour en vol ». Avec le premier, on gère le démarrage et l’arrêt ; avec le second, la remise à zéro du chronographe et son redémarrage immédiat.

    TYPE XX CHRONOGRAPHE 2067

    La lignée des versions civiles

    Cette seconde pièce à l’allure aventurière s’inscrit dans la lignée des plus beaux Type XX civils des années 1950 et 1960, en particulier d’un modèle fabriqué en 1957 qui porte le numéro individuel 2988.

    Le cadran noir du chronographe 2067 se distingue du 2057 sur plusieurs aspects. Tout d’abord son affichage: le compteur de 15 minutes est situé à 3 h, celui de 12 h à 6 h et les secondes courantes sont à 9 h.

    Tout comme dans la version d’inspiration militaire, la taille des compteurs diffère afin d’apporter plus de dynamisme et de lisibilité au cadran. Les chiffres arabes, les aiguilles ainsi que le triangle présent sur la lunette sont habillés d’un traitement luminescent ivoire. Le guichet de la date s’invite à 4 h 30.

    La boîte en acier de 42 mm de diamètre est équipée d’une lunette graduée bi- directionnelle cannelée. Sa couronne classique de forme droite permet le réglage dans trois positions : 1) neutre, 2) correction de la date, 3) mise à l’heure. Avec le poussoir positionné à 2 h, on démarre et arrête les fonctions chronographe et avec celui à 4 h la remise à zéro du chronographe et le redémarrage immédiat, le fameux « retour en vol ».

    Ces deux montres très attendues qui intègrent la collection courante sont proposées dans un écrin en cuir couleur havane rappelant le profil d’une aile d’avi- on. Afin de varier d’allure selon les envies, le nouveau chronographe est doté d’un bracelet en cuir de veau et d’un bracelet NATO noir additionnel contenu dans son coffret. Le système d’interchangeabilité des bracelets permet d’enlever le brace- let en cuir de manière facile et autonome sans avoir recours à des outils. En effet, par une simple pression des poussoirs situés sous les cornes, l’utilisateur peut retirer les deux moitiés de ce bracelet.

    Pour poser un autre bracelet en cuir, il suffit de positionner la fente située à l’extrémité supérieure de celui-ci au niveau de l’entre-corne de la montre, à 45-60 degrés. Un système d’enclenchement permettra de sécuriser sa fixation. Il suffit   donc de quelques secondes pour passer d’un bracelet en cuir de veau à une au- tre variante en cuir, tandis que le bracelet NATO noir se glisse entre les deux barres en passant sous la boîte.

    PRÉCISION ET ROBUSTESSE

    Arrivée du nouveau calibre 728

    Après quatre ans de développement au sein de la Manufacture Breguet, la marque est heureuse de présenter le nouveau calibre à remontage automatique 728 pour la version civile et 7281 pour le modèle militaire. Mêlant robustesse et innovation, ce mouvement ainsi que sa variante ont fait l’objet de plusieurs brevets. Non seulement celui- ci intègre l’ensemble des caractéristiques d’un chronographe moderne, telles que la roue à colonnes, l’embrayage vertical, la fréquence de 5 Hz ou encore un système innovant de déclenchement de remise à zéro, mais il bénéficie également des dernières innovations techniques en matière de chronométrie.

    Le spiral, la roue d’échappement, ainsi que les cornes de l’ancre sont réalisés en silicium. En plus d’être résistant à la corrosion ainsi qu’à l’usure, le silicium est insensible à l’influence des champs magnétiques et améliore la précision du garde-temps. Par ailleurs, ce chronographe à remontage automatique bénéficie d’une réserve de marche de 60 heures.

    Les deux nouveaux Type XX sont évidemment munis de la fonction « retour en vol », appelée également « flyback ». Cette fonction est un atout précieux pour les pilotes. Avant sa création, trois manipulations étaient nécessaires au lieu d’une seule.

    Innovants, les systèmes de déclenchement et de remise à zéro du nouveau calibre ont été étudiés afin que leur utilisation soit nette et précise. Quelle que soit la fonction utilisée, la pression exercée sur les poussoirs est régulière et équilibrée. Quant à son mécanisme d’embrayage vertical il a été choisi pour sa précision au déclenchement. Ainsi, l’aiguille de chronographe démarre immédiatement sans sauts au départ. Afin d’apporter de la solidité au mouvement et de garantir sa précision lors d’éventuels chocs, le choix de la maison s’est porté sur un pont traversant, qui permet de maintenir le balancier.

    Dimensionné pour occuper un maximum de la place disponible dans le mouvement, le barillet, indispensable source d’énergie, est équipé d’un ressort dont la matière à haute densité énergétique permet une plus grande réserve de marche.

    Finalement, un atout supplémentaire de ce nouveau mouvement est son esthétique : un travail important a été réalisé sur la décoration. Outre le soleillage, le colimaçonnage, l’anglage, le perlage et autres décorations visibles sur les composants, la marque a habillé la roue à colonnes d’un traitement DLC noir alliant contraste et amélioration tribologique. Le fond saphir de la boîte permet ainsi d’admirer les détails du mouvement mais également sa masse oscillante. Cette dernière en or noirci reprend la forme d’une aile d’avion, elle est gravée du logo Breguet.

  • BREGUET TYPE XX

    Dossier de presse - Français Juin 2023

    TYPE XX RETOUR EN FORCE

    Iconique depuis près de 70 ans, cette collection a accompagné l’histoire de l’aviation, que ce soit au poignet de pilotes en qualité d’instrument de précision ou à celui d’amateurs fascinés par ses qualités légendaires. La Manufacture Breguet est fière de dévoiler aujourd’hui une ligne repensée, à la fois innovante, très contemporaine et riche de multiples clins d’œil à l’histoire.

    Année 2023 : nouveau Type XX, nouvelle génération, nouveau calibre, un souffle nouveau ! Quatre ans de travail ont été nécessaires avant de dévoiler la nouvelle génération de l’iconique Type XX, avec deux versions pour combler toutes les attentes – l’une d’allure militaire, l’autre inspirée des plus beaux modèles civils. Dans le sillage de pièces emblématiques de la première génération, la maison a insufflé à ces montres un esprit contemporain, dynamique et technologique. La saga du Type XX n’est décidément pas prête de s’arrêter !

    L’ENVOL D’UNE MONTRE ICONIQUE

    C’est tout naturellement que pour son nouveau Type XX, la maison Breguet a puisé dans son riche patrimoine. Et si l’on replace les choses dans leur contexte, on se rappelle qu’au début des années 1950, la marque horlogère avait su répondre aux exigences des forces aériennes, qui souhaitaient alors s’équiper d’un chronographe de poignet robuste et doté de caractéristiques particulières.

    Maison au prestige bien connu, soucieuse d’accompagner les grandes aventures humaines, Breguet s’est mise au XXe siècle au service de la navigation aérienne comme elle s’était mise, au XIXe siècle, à celui de la navigation maritime. De nombreux pilotes acquièrent des montres Breguet : Alberto Santos-Dumont en 1910, des soldats américains stationnés en France en 1918, la société d’aviation Louis Breguet, des pilotes japonais en visite en France dans les années 1920 et bien d’autres encore…

    Pour un pilote, et plus largement pour un navigant, avoir l’heure à bord d’un avion, conserver ses repères temporels dans un environnement d’activité intense et de stress, est une nécessité vitale qui deviendra bientôt une exigence règlementaire. Mesurer son temps de vol, chronométrer des temps de vol intermédiaires, suivre sa consommation de carburant, faire des repérages, effectuer des manœuvres… Tout cela demande des in- struments que les horlogers au fil des années rendront à la fois plus précis et plus pratiques à manipuler: montres chronographes de bord et bientôt, montres-bracelets chronog- raphes.

    La consultation des archives permet de constater que les produits « spéciaux », c’est-à-dire adaptés aux contraintes partic- ulières de l’environnement aéronautique, sont nombreux à partir des années 1930: chronomètres d’aérodrome 19-lignes dans une boîte d’argent antimagnétique, chro- nographes compteurs à rattrapante, petits chronomètres de bord 24-lignes dotés d’une boîte calorifugée, d’un thermostat et d’un éclairage, sidéromètres… Autant de pièces très techniques livrées tant à l’aéronautique militaire qu’à la jeune compagnie nationale Air France.

    La livraison d’instruments horlogers destinés au tableau de bord des aéronefs s’accentue dès le début des années 1950 et constitue l’une des spécialités reconnues de Breguet pendant pas moins de trois décennies. Les modèles les plus répandus sont les Type 11, 11/1 et 12, vendus dans une dizaine de pays et présents dans de nombreux avions, notamment l’inoubliable supersonique Concorde. 

    Dès les années 1930, la maison produit de plus en plus de montres-bracelets dotées de la fonction chronographe, une tendance confirmée après-guerre. L’essor du chronographe de poignet est lancé et ne s’arrêtera plus. 

    Pour les pilotes, l’heure est si précieuse à bord qu’il faut, par sécurité, mettre en place une re- dondance. Au chronographe fixé au tableau de bord vient donc s’ajouter un autre chro- nographe – et pas n’importe lequel –, attaché au poignet du pilote. Si l’un devient inutilis- able, l’autre prend le relai. C’est là tout le sens des instruments horlogers dont la maison Breguet va devenir spécialiste, notamment avec le mythique Type XX.

    PARCOURS D’UNE ICÔNE, REPÈRES CHRONOLOGIQUES

    Brosser en quelques lignes le tableau historique d’une pièce aussi emblématique que le Type XX est chose impossible. Aussi nous contenterons-nous de retracer à grands traits les principaux modèles qui ont jalonné le catalogue de la maison depuis près de 70 ans.

    Selon les archives, l’histoire commence au tout début des années 1950, quand la maison, déjà spécialiste dans la fabrica- tion de produits pointus pour l’aviation, apprend que l’armée de l’Air française cherche à équiper ses pilotes d’une mon- tre-bracelet chronographe comportant les exigences suivantes : cadran noir à chiffres luminescents, aiguilles lumi- nescentes, mouvement de haute qualité résistant aux changements de pression et aux accélérations, lunette tournante et, bien sûr, fonction « retour en vol », pour ne citer que les plus importantes.

    C’est le ministère de l’Air qui donne au fu- tur produit le nom de « Type XX ».

    Plusieurs entreprises concourent et rem- portent des marchés, ce qui fait que plu- sieurs marques vont produire des Type XX ; d’autre part, les marques retenues pour les marchés publics peuvent égale- ment vendre le même produit à des cli- ents privés. C’est ainsi que l’on va trouver des Type XX militaires et des Type XX civils.

    Pour Breguet, les choses vont se passer de la manière suivante : les prototypes soumis par la maison en 1952 sont ho- mologués en 1953 par le Service Tech- nique Aéronautique. En 1954, l’armée de l’Air commande 1100 « Type 20 militaires » qui seront livrés entre 1955 et 1959. Ils ont un totalisateur de 30 mn et leur cad- ran est non signé ; au dos figurent les in- scriptions officielles « BREGUET – TYPE 20 – 5101/54 ».

    Autre client prestigieux, le Centre d’Essais en Vol (CEV), qui regroupe l’élite des pilotes d’essais, commande 80 pièces, livrées en- tre 1956 et 1957. Elles ont un totalisateur de 15 mn et cinquante d’entre elles sont dotées d’un compteur de 12 h à 6 h. Une inscription composée des lettres « CEV » et d’un numéro allant de 1 à 80 est gravée au dos.

    En 1958, c’est la Marine nationale qui, pour les pilotes et les navigants de sa com- posante aérienne, l’Aéronautique Navale, commande 500 pièces. Livrées en total- ité le 13 janvier 1960, ces pièces militaires Type XX sont sensiblement différentes de celles de l’armée de l’Air: leur totalisateur est de 15 minutes et se trouve dans un cercle au diamètre agrandi ; leur cadran est signé. On peut lire au dos l’inscription « BREGUET – MARINE NATIONALE – AERONAUTIQUE NAVALE – N° X / 500 ».

    La réputation du Type XX dépasse très vite le cercle du monde militaire et c’est aussi l’univers de l’aviation civile et des amateurs de chronographes qui se rend chez Breguet pour acquérir un Type XX. Même si le mouvement Valjoux 14-lignes est remplacé en 1963 par un mouvement modernisé de 13-lignes, et si l’on peut constater quelques variantes au niveau du cadran, des aiguilles ou de la lunette, le Type XX ne subit guère de modifications esthétiques jusqu’en 1970. Le nombre de Type XX « civils » vendus excède 2000 pièces.

    En 1971 arrive le Type XX de deuxième génération, reconnaissable à sa boîte agrandie en acier poli, à ses cornes épaisses et à sa lunette noire. Ce modèle est disponible avec ou sans totalisateur de 12 heures, cependant son compteur est toujours de 15 minutes.

    Près de 800 exemplaires de cette pièce se vendront, la plupart à des civils ; sur le plan militaire, signalons seulement les cinquante pièces livrées à la force aéri- enne royale du Maroc. À noter égale- ment les commandes de la société Aéro- spatiale (future Airbus Industries) et les achats de la Présidence de la République française pour faire des cadeaux officiels. Les dernières pièces sont vendues en 1986. Et c’est la fin (provisoire) de plus de trente ans d’une riche histoire. 

    À peine dix ans d’absence et c’est le re- nouveau du Type XX, avec l’apparition en 1995 de la troisième génération sous la forme de la référence 3800 « Aérona- vale» (sans date) puis de la référence 3820 « Transatlantique » (avec date). Le nouveau Type XX reprend les codes du monde l’aviation : cadran noir, lunette tournante, fonction « retour en vol », en ajoutant le confort d’un mouvement à remontage automatique. Sur le plan es- thétique, il possède une boîte à carrure cannelée, héritage un peu anachronique du style « Breguet ancien ».

    Le succès est au rendez-vous et les dé- clinaisons fort nombreuses ; métaux précieux et couleurs de cadrans défilent au cours des années. Un réveil (réf. 3860) et un Type XX pour dame (réf. 4820) complètent la famille qui va s’agrandir encore en 2004 avec l’arrivée du Type XXI (réf. 3810) et en 2010 avec l’impres- sionnant Type XXII (réf. 3880) qui in- tègre la technologie haute fréquence et le silicium. Le Type XXI connaitra à son tour de nombreuses déclinaisons et quelques séries limitées jusqu’aux pièces de ces dernières années (réf. 3817 et 3815).

    BREGUET AVIATION

    Fasciné par la conquête de l’air, le petit-fils de Louis Clément Breguet (lui-même petit-fils d’Abraham-Louis Breguet), Louis Charles se tourne au début du XXe siècle vers l’aventure aérienne. Il commence par construire des gyroplanes (ancêtres de l’hélicoptère), avant de créer en 1911 la Société anonyme des ateliers d’aviation Louis Breguet. Plusieurs de ses avions auront des carrières internationales. La famille Breguet avait de très bons rapports avec la famille Brown. Cette dernière avait racheté la maison d’horlogerie en 1870. C’est donc tout naturellement que l’avionneur Louis Breguet se tourne vers elle afin de lui faire part des besoins du monde aéronautique en matière d’horlogerie. Louis Breguet se fournira ainsi auprès de la société horlogère Breguet pour équiper ses avions et ses pilotes.

    En 1966, Marcel Dassault rachètera la société fondée par Louis Breguet et la fusionnera avec la sienne en 1971 sous la raison sociale Avions Marcel Dassault-Breguet Aviation. L’ensemble prendra son nom actuel « Dassault Aviation » en 1990.

    DES CLIENTS LÉGENDAIRES

    Avec la commande de l’armée de l’Air française, puis celle du Centre d’Essais en Vol (CEV), de l’Aéronautique Navale et de nombreux pilotes civils, c’est toute l’élite de l’aviation qui a évolué dans les cieux avec le fameux Type XX.

    On sait par les archives de la maison que l’un des premiers Type XX est offert par le constructeur d’avions Louis Breguet à la grande aviatrice Jacqueline Auriol, pilote d’essai et figure mondiale de l’aviation féminine.

    De nombreux organismes aéronautiques figurent aussi parmi les clients assidus du Type XX. La force aérienne royale du Maroc achète également, dans les années 1970, la deuxième génération de Type XX – tout comme la société Aérospatiale  (future  Airbus  Industries), la Présidence de la République française, l’ENAC (École nationale de l’aviation civile), la Gendarmerie nationale, la compagnie d’hélicoptères Héli-Union, l’OGA (Office Général de l’Air) et bien d’autres…

    Le Type XX sut également séduire l’univers sportif, et cela est peu connu. Des organisations de courses automobiles offrent aux vainqueurs une montre Type XX, c’est le cas du Rallye de       

    Monte-Carlo. Des coureurs célèbres tels que Fernand Masoero, Jack Brabham ou encore Pierre Alexandre eurent un Type XX à leur poignet. La montre de ce dernier figure d’ailleurs aujourd’hui dans les collections du Musée Breguet. Quant à la Fédération Française de Football, elle offrira à chacun des vainqueurs de la Coupe du monde 1998 un Type XX personnalisé.

    TYPE 20 CHRONOGRAPHE 2057

    L’héritage militaire

    Ce garde-temps s’inspire des 1100 exem- plaires livrés à l’armée de l’Air française entre 1955 et 1959 et dont le nom s’écrivait Type 20 en chiffres arabes, à la différence de tous les autres, y compris ceux de l’Aéronautique Na- vale, dont le nom s’écrivait Type XX en chiffres romains.

    Le cadran du chronographe 2057 noir a été modernisé tout en restant fidèle à l’identité Type 20. Les chiffres arabes ainsi que le trian- gle présent sur la lunette sont luminescents et arborent une teinte vert menthe, tout comme l’ensemble des aiguilles. Le compteur de 30 minutes, situé à 3 h, est désormais plus imposant que les secondes courantes affichées à 9 h, tandis qu’un guichet de date vient s’ajouter à 4 h 30. 

     La boîte en acier de 42 mm de diamètre est munie d’une lunette non graduée bidirection-nelle cannelée, comme celle des pièces livrées autrefois aux forces aériennes militaires. La couronne, qui reprend la forme poire d’origine, possède trois positions de réglage : 1) neutre, 2) correction de la date, 3) mise à l’heure. Le poussoir situé à 2 h permet le déclenchement de la fonction chronographe ; celui à 4 h, celle du « retour en vol ». Avec le premier, on gère le démarrage et l’arrêt ; avec le second, la remise à zéro du chronographe et son redémarrage immédiat.

    TYPE XX CHRONOGRAPHE 2067

    La lignée des versions civiles

    Cette seconde pièce à l’allure aventurière s’inscrit dans la lignée des plus beaux Type XX civils des années 1950 et 1960, en particulier d’un modèle fabriqué en 1957 qui porte le numéro individuel 2988.

    Le cadran noir du chronographe 2067 se distingue du 2057 sur plusieurs aspects. Tout d’abord son affichage: le compteur de 15 minutes est situé à 3 h, celui de 12 h à 6 h et les secondes courantes sont à 9 h.

    Tout comme dans la version d’inspiration militaire, la taille des compteurs diffère afin d’apporter plus de dynamisme et de lisibilité au cadran. Les chiffres arabes, les aiguilles ainsi que le triangle présent sur la lunette sont habillés d’un traitement luminescent ivoire. Le guichet de la date s’invite à 4 h 30.

    La boîte en acier de 42 mm de diamètre est équipée d’une lunette graduée bi- directionnelle cannelée. Sa couronne classique de forme droite permet le réglage dans trois positions : 1) neutre, 2) correction de la date, 3) mise à l’heure. Avec le poussoir positionné à 2 h, on démarre et arrête les fonctions chronographe et avec celui à 4 h la remise à zéro du chronographe et le redémarrage immédiat, le fameux « retour en vol ».

    Ces deux montres très attendues qui intègrent la collection courante sont proposées dans un écrin en cuir couleur havane rappelant le profil d’une aile d’avi- on. Afin de varier d’allure selon les envies, le nouveau chronographe est doté d’un bracelet en cuir de veau et d’un bracelet NATO noir additionnel contenu dans son coffret. Le système d’interchangeabilité des bracelets permet d’enlever le brace- let en cuir de manière facile et autonome sans avoir recours à des outils. En effet, par une simple pression des poussoirs situés sous les cornes, l’utilisateur peut retirer les deux moitiés de ce bracelet.

    Pour poser un autre bracelet en cuir, il suffit de positionner la fente située à l’extrémité supérieure de celui-ci au niveau de l’entre-corne de la montre, à 45-60 degrés. Un système d’enclenchement permettra de sécuriser sa fixation. Il suffit   donc de quelques secondes pour passer d’un bracelet en cuir de veau à une au- tre variante en cuir, tandis que le bracelet NATO noir se glisse entre les deux barres en passant sous la boîte.

    PRÉCISION ET ROBUSTESSE

    Arrivée du nouveau calibre 728

    Après quatre ans de développement au sein de la Manufacture Breguet, la marque est heureuse de présenter le nouveau calibre à remontage automatique 728 pour la version civile et 7281 pour le modèle militaire. Mêlant robustesse et innovation, ce mouvement ainsi que sa variante ont fait l’objet de plusieurs brevets. Non seulement celui- ci intègre l’ensemble des caractéristiques d’un chronographe moderne, telles que la roue à colonnes, l’embrayage vertical, la fréquence de 5 Hz ou encore un système innovant de déclenchement de remise à zéro, mais il bénéficie également des dernières innovations techniques en matière de chronométrie.

    Le spiral, la roue d’échappement, ainsi que les cornes de l’ancre sont réalisés en silicium. En plus d’être résistant à la corrosion ainsi qu’à l’usure, le silicium est insensible à l’influence des champs magnétiques et améliore la précision du garde-temps. Par ailleurs, ce chronographe à remontage automatique bénéficie d’une réserve de marche de 60 heures.

    Les deux nouveaux Type XX sont évidemment munis de la fonction « retour en vol », appelée également « flyback ». Cette fonction est un atout précieux pour les pilotes. Avant sa création, trois manipulations étaient nécessaires au lieu d’une seule.

    Innovants, les systèmes de déclenchement et de remise à zéro du nouveau calibre ont été étudiés afin que leur utilisation soit nette et précise. Quelle que soit la fonction utilisée, la pression exercée sur les poussoirs est régulière et équilibrée. Quant à son mécanisme d’embrayage vertical il a été choisi pour sa précision au déclenchement. Ainsi, l’aiguille de chronographe démarre immédiatement sans sauts au départ. Afin d’apporter de la solidité au mouvement et de garantir sa précision lors d’éventuels chocs, le choix de la maison s’est porté sur un pont traversant, qui permet de maintenir le balancier.

    Dimensionné pour occuper un maximum de la place disponible dans le mouvement, le barillet, indispensable source d’énergie, est équipé d’un ressort dont la matière à haute densité énergétique permet une plus grande réserve de marche.

    Finalement, un atout supplémentaire de ce nouveau mouvement est son esthétique : un travail important a été réalisé sur la décoration. Outre le soleillage, le colimaçonnage, l’anglage, le perlage et autres décorations visibles sur les composants, la marque a habillé la roue à colonnes d’un traitement DLC noir alliant contraste et amélioration tribologique. Le fond saphir de la boîte permet ainsi d’admirer les détails du mouvement mais également sa masse oscillante. Cette dernière en or noirci reprend la forme d’une aile d’avion, elle est gravée du logo Breguet.

  • Marque  : Breguet
    Collection  : Type XX
    Modèle  : Type XX Chronographe 2067
    Référence  : 2067ST/92/3WU
    Complément : Acier - Cadran Noir - Bracelet Cuir de Veau
    En vente depuis : Juin 2023
    Prix du neuf : 19 100 €
    Diamètre : 41 mm
    Epaisseur : 14.1 mm
    Styles : Vintage
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 728
    Calibre distinction : Spiral plat en silicium
    Echappement à ancre en ligne inversée avec cornes en silicium
    Complication : Petite Seconde
    Date
    Chronographe
    Chronographe Flyback (Retour en Vol)
    Compteur 12 Heures
    Compteur 15 Minutes
    Matière du boîtier : Acier
    Forme : Ronde
    Etanchéité : 100 mètres
    Couleur du cadran : Noir
    Matière du bracelet : Cuir
    Plus de caractéristiques :
    Mouvement
    Mouvement: Remontage automatique
    Calibre: 728
    Fréquence: 5 Hz
    Réserve de marche: 60 heures
    Composants: 339

    Boitier
    Acier

    Cadran
    Noir

    Bracelet / Boucles
    Set de deux bracelets interchangeables, 1 en cuir de veau, 1 en tissu NATO