Crash

Objet de désir, strictement confidentielle, la montre Crash cultive le prestige de la rareté.

Née en 1967, à Londres, en plein coeur du Swinging London, la montre Crash véhicule l’esprit d’effervescence et d’insouciance d’une époque en liberté. Elle cristallise la rencontre entre le grand horloger des formes et ce courant de transgression joyeuse et pop qui bouscule les conformismes.

L’histoire veut qu’un client ait rapporté une montre Cartier accidentée afin de la faire réparer et que Jean-Jacques Cartier, alors à la tête de Cartier Londres, ait été séduit par la forme du boîtier au point de vouloir la reproduire en l’état.

Crash : c’est son nom pour figurer l’impact, l’anticonformisme et la liberté créative !

Cartier s’amuse alors à bousculer et à détourner les conventions, à introduire humour et élégance dans le domaine de la précision et de l’exactitude horlogère…

Avec son cadran asymétrique, qui peut aussi évoquer la distorsion et l’accident, la montre Crash devient au fil du temps un collector produit en séries très limitées. Son nom se dispute auprès d’une élite avertie pour laquelle elle fait figure d’icône seventies underground. Le mythe est en marche.

La montre Crash fait aujourd’hui l’objet d’une édition limitée de quatre nouveaux modèles qui se parent pour la première fois d’un délicat bracelet composé de gouttes en or gris ou en or rose. Dans une version plus précieuse encore, le bracelet est entièrement pavé.

Clin d’œil à son année de naissance, cette montre mythique et ultra-sélective est éditée à 267 exemplaires numérotés pour les modèles avec bracelet en or et à 67 exemplaires numérotés pour les modèles avec bracelet pavé ; objet rare s’il en est, ce véritable objet de désir n’est disponible que dans certaines boutiques Cartier.