IMPERIALE Flying Tourbillon

IMPERIALE Flying Tourbillon

Edition limitée de 8 pièces en or éthique blanc 18 carats

Quand Chopard unit ses savoir-faire horlogers et joailliers, une pièce d’exception voit le jour

Créée en 1994, la collection IMPERIALE accueille pour la première fois un mouvement à tourbillon volant, le L.U.C 96.24-C. Entièrement conçu et manufacturé par Chopard, ce calibre exclusif est l’un des seuls du marché à arborer la double certification Chronomètre et Poinçon de Genève . Pour habiller la précision extrême de l’IMPERIALE Flying Tourbillon, les artisans de la Maison lui ont taillé un habit à sa mesure, d’une magnificence rare. Dans un boîtier en or éthique blanc 18 carats serti de diamants, le cadran en aventurine est brodé d’un lotus en marqueterie de nacre dans lequel bat un tourbillon volant aussi hypnotique qu’émouvant.

En repoussant toujours plus loin les limites des métiers horlogers et joailliers, Chopard a choisi l’excellence comme signature de ses créations. L’IMPERIALE Flying Tourbillon – éditée en seulement huit exemplaires – en témoigne. « Très peu de montres de joaillerie sont dotées de mouvements automatiques, observe Karl-Friedrich Scheufele, coprésident de Chopard. Celles qui arborent une complication horlogère sont encore plus rares. Nos garde-temps à tourbillon volant sont les seuls de cet univers à garantir une précision chronométrique certifiée par le COSC et à posséder le prestigieux label du Poinçon de Genève. »

Une précision absolue

Entièrement réalisé dans les ateliers de la Manufacture, le tourbillon volant de Chopard a été lancé en 2019 dans la montre masculine L.U.C Flying T Twin. Depuis lors, ce tourbillon appelé « volant » car il ne repose pas sur un pont supérieur a également été décliné dans des versions féminines. Aujourd’hui, il bénéficie de l’ensemble des innovations techniques développées depuis vingt-cinq ans par Chopard Manufacture. Sa remarquable finesse – à peine 3,30 mm d’épaisseur pour 194 composants – le classe parmi les plus plats de la Haute Horlogerie contemporaine. Le calibre L.U.C 96.24-C est équipé d’une fonction stop seconde. Rarissime sur un tourbillon, cette caractéristique technique permet un réglage de l’heure encore plus précis. De fait, l’IMPERIALE Flying Tourbillon est certifiée « Chronomètre » par le Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (COSC).

Cette montre d’exception a obtenu le Poinçon de Genève, prestigieux label qui, depuis 1886, récompense le plus haut degré de qualité de fabrication de chaque composant. Comme dans la Haute Couture, le Poinçon de Genève est le garant d’une réalisation virtuose tant au niveau esthétique des éléments du calibre que de la fiabilité de son fonctionnement. In fine, la technologie Chopard Twin (en référence aux deux barillets superposés) assurent à l’IMPERIALE Flying Tourbillon une réserve de marche de 65 heures.

Un décor somptueux

Pour mettre en valeur cette prouesse horlogère, Chopard a fait appel à tous ses savoir-faire joailliers. « Dédiée aux femmes de caractère, la collection IMPERIALE dégage une aura de chic intemporel, affirme Caroline Scheufele, coprésidente et directrice artistique de Chopard. Cette montre symbolise la performance technique alliée à une grande sophistication esthétique. »

Hommage aux grands empires de l’Histoire, les codes stylistiques de la collection IMPERIALE se retrouvent dans les aiguilles en forme de glaive et les cornes du boîtier rappelant des colonnes antiques. Tandis qu’au dos du modèle, une glace saphir permet d’admirer le décor de Côtes de Genève ainsi qu’un pavage de diamants sur le micro-rotor en platine. Côté face, l’IMPERIALE Flying Tourbillon laisse apparaître une richesse inouïe dans le traitement de son boîtier. Les ateliers de Chopard ont serti de diamants étincelants la boîte et les cornes qui sont façonnées en or éthique blanc 18 carats. Leur éclat illumine le ciel bleu nuit pailleté du cadran en verre aventurine où une fleur de lotus en marqueterie de nacre a éclos. Ses pétales, merveilleusement galbés, s’ouvrent sur une seconde fleur, pavée cette fois-ci de diamants. A la place du pistil, le tourbillon volant orné de quatre pétales devient également végétal, insufflant ainsi une poésie nouvelle aux rotations de son mécanisme infinitésimal, telle une symphonie florale du Temps magistrale…